AH MERDE, JE VOULAIS DIRE TOP NOVEMBRE.
BULLET LAVOLTA – the gift + swandive
Marrant comme certains groupes reviennent à la surface, tandis que d’autres restent au fond de la mare, comme s’ils étaient lestés de ciment… une explication ? j’en ai aucune… je me retrouve devant le fait accompli et c’est tout. Quelques exemples : Mudhoney je peux plus, Sonic Youth idem, Superchunk carrément oui, Alice Donut non, Seaweed OK, Lunachicks pourquoi pas mais sans plus, Moving Targets fuck yeah… donc, retour à la surface de Bullet Lavolta. Pour l’anecdote, un groupe découvert bicause un t-shirt qu’un type portait à un concert au Democrazy, à Gent, vers 1990 ! Intrigué, ce logo BLV, avec les volatiles en cercle autour, et aussi le fait que le type porte ce truc à un show où tu te trouves, goûts communs, etc etc… Ouais c’était bien avant internet… comme quoi l’effet com du t-shirt fonctionne… bref découverte de ce combo de Boston avec l’album « swandive », topé pour une poignée de cacahuètes dans une échoppe d’occases… et très bonne surprise, ça brasse large, le cocktail est savoureux : c’est pas punk-rock, ni metal, ni pop, ni grungy mais tout ça à la fois ! Le boulot des gratteux est impressionnant, c’est bourré d’énergie, le chanteur a une voix mortelle, en plus d’avoir un nom de perso de cartoon (Yukki Gipe)… j’ai topé « the gift » un peu plus tard, et même recette hyper efficace à la clé… un premier album puissant, plein de hargne et aux compos inspirées… à noter que Ken Chambers (Moving Targets) et Corey Loog Brennan (Lemonheads) ont fait partie du line-up de Bullet Lavolta… c’est pas les premiers mecs venus quoi ! pour tester (vas-y ça vaut le coup), c’est par ici :
THE SNEETCHES – lights out with the sneetches
Encore un CD qui a échappé au tri sélectif, normal, ça rentre encore comme dans du beurre… chopé pour pas cher dans une cool boutique qui se trouvait rue de la clé, avec un sous-sol puant l’humidité et tout (d’ailleurs c’est là qu’il y avait les skeuds les plus cheap), une échoppe où j’ai craqué moult biftons, et découvert des tas de groupes. Les Sneetches (de San Francisco, il me semble), un trio qui officiait dans la pop lumineuse, celle qui prend ses racines dans les compos les plus classieuses des Turtles, Easybeats et autres Kinks, avec la dose parfaite de DB’s, Flamin’ Groovies, Shoes… des arrangements précis, des guitares qui claquent et surtout un sens de la compo fabuleux ! séduit à la première écoute… J’ai jamais trouvé un autre skeud de ce groupe, sinon je l’aurais pris, pas de problème. Mes sessions de chasse au CD d’occase, ça s’amenuise maintenant. Un échantillon ici :
CODE ORANGE – I am king
Coup de coeur immédiat, sur un groupe dont j’avais seulement croisé le nom ici et là. Evoqué lors d’une session Electric Ballroom, au sujet de leur changement de nom (ils ont viré le « Kids » à la fin de Code Orange… pourtant ils sont pas bien vieux)… donc, jamais écouté Code Orange. Jusqu’à un enchaînement de circonstances et autres faisceaux d’indices. Je traîne sur la chaîne YT de No Sleep, et je vois une session acoustique de Adventures (en fait juste Reba Meyers + la meuf au clavier), touché ! Je file voir quelques vidéos de Adventures, dans le trip indie 90’s, bam ! j’apprends ensuite que c’est la même clique qui officie sous ce nom (- la meuf au clavier) évoqué plus haut, d’abord Code Orange Kids, puis Code Orange. Visionnage de vidéos et torgnole en commençant avec le titre « dreams in inertia », whoa, du HC coupé au sludge, avec des passages noisy… tu parles d’un mélange… franchement ça me tue, je trouve ça super audacieux… après je vais être honnête j‘ai bloqué sur cet album une dizaine de jours, c’est déjà pas mal, mais je vais pas non plus écouter Code Orange H 24… de toute façon avec le net (j’en discutais il y a peu avec Frank Slow Death) difficile de rester coincé sur un groupe, vu que ça pousse toujours derrière… d’ailleurs ce skeud, je l’a pas acheté, je l’ai pas téléchargé, je l’ai juste écouté via leur page bandcamp… le but, c’est d’éprouver des sensations, même si c’est pour une courte période… donc, cet album m’a mis à genoux une grosse semaine, et c’est ça qui est cool. Style ce que j’avais envie d’écouter, pile le bon timing et tout… donc carrément à sa place dans un top mensuel… j’ai même visionné quelques concerts via YT, bien intenses, public hyperactif, comme le groupe en fait… et la meuf Reba a un putain de charisme, avec sa tignasse rousse qui virevolte dans tous les sens… coolos !
PIERRE OUIN
Comme pour Patrick Mc Nee il y a peu, une triste nouvelle qui se retrouve dans un top mensuel… zarbi mais bon. Pierre Ouin, il mérite qu’on en parle un peu… en ce qui me concerne, un des dessinateurs qui m’a carrément donné envie de persévérer dans le graphisme, sachant que j’étais pas taillé pour faire des choses à la Jack Kirby ou Frank Frazetta… pas capable de taper dans le réalisme, mais également une part de choix perso… la réalité me soûle, donc pas envie non plus de la représenter sur une feuille de papier… Pierre Ouin, ça me ramène direct à l’époque où j’achetais Metal Hurlant, ainsi que les autres mags des Humanos, Rigolo et Metal Aventures, vers 83/84. Le mec faisait partie des gribouilleurs qui m’ont mis à genoux, dès la première vision de leurs planches. Lui, Michel Pirus, Max, Charlie Schlingo… graphismes sauvages, histoires débridées, ça fonçait tout droit, pas de prisonniers, rien à foutre de l’académisme… et ça m’a scotché d’entrée, à l’inverse d’autres auteurs édités dans ces mêmes pages, des mecs comme Schuiten et Peteers par exemple (jamais su qui écrivait et qui dessinait, ça m’intéressait pas)… ces mags m’ont aussi ouvert les yeux sur Gary Panter, Charles Burns, Richard Corben, Serge Clerc, Yves Chaland… et j’en passe des tonnes. Je dois avouer que Max a été le plus influent sur moi, surtout dans l’esprit. Genre tu dessines pas comme un néo-classique ? Rien à foutre, fais ton truc, comme tu le sens… je le confesse, au niveau dessin pur, Pirus a été la plus grosse claque, ce trip Calvo Disneyesque !!! mais j’arrête de digresser… retour à Ouin. Découvert dans Metal, via des pages de Bloodi, son anti-héros junkie, ses aventures picaresques dans Paname, à la recherche de dope… des dessins géniaux, un genre de ligne claire dynamitée de l’intérieur, avec une foule de détails, qui remplissent l’espace… « Bloodi trouve pas l’égout », « Bloodi et les rongeurs », ainsi que les trucs élaborés avec son acolyte Max, « suck Korea suck » et « fuck, fly & bomb »… des albums bidonnants, wild, ultra cool quoi… un pan de l’histoire de la BD française, à l’époque où les Humanos éditaient des tonnes de choses magiques, avec un esprit irrévérencieux et moderne… j’avoue j’avais lâché le morceau fin des années 80, quand le mec dessinait pour le Psikopat. Ce mag de la bande à Carali, ça ne m’a jamais trop parlé, Fluide Glacial tout ça, pas mon trip du tout. Mais bon, Pierre Ouin, pour moi ça voudra toujours dire quelque chose. So long mec.
FAST N’ LOUD (GAS MONKEY GARAGE)
le prototype du show Discovery Channel que je peux mater à la file, par packs de 6... on y suit les aventures de deux mecs qui gèrent le Gas Monkey Garage à Dallas, Texas. Leur truc c’est de racheter (à bas prix si possible) des vieilles caisses, de les remettre à neuf et de les revendre en faisant un max de profit (si possible, toujours)… le boss (Richard Rawlings) pousse au cul son crew, bicause il a de gros frais, pas seulement les pièces détachées qui peuvent être rares à choper et la main d’œuvre, mais il doit aussi faire tourner son bar/resto/salle de concerts en plus de son garage ! Ouais la libre entreprise aux USA, c’est pas du flan… donc le gars s’énerve et pousse des gueulantes sur ses employés (dont le mécano en chef Aaron Kaufman à la barbe ZZ Top-esque… hey, on est au Tejas ou pas ?) les bagnoles remises à neuf doivent se vendre avec moult bénefs lors des ventes aux enchères… bonne ambiance dans cette série doc, les types aiment bien déconner, faire des burn-out sur le parking, boire des canettes, démolir des trucs (exactement comme les gonzes de American Chopper, d’ailleurs la clique Gas Monkey parodie le clan Teutul dans un épisode bidonnant) et c’est aussi extrêmement bien torché, comme d’hab sur Discovery. Et niveau caisses ben on est du bon côté de l’océan, les mecs vont pas se faire chier à remettre en état des foutues 4L ou des 504 break (ah le temps des cool chignoles françaises, les Aronde P 60 et Rush, Ariane, Versailles, Chambord, Beaulieu…), chez Gas Monkey on sue plutôt sur des Super Bee, des Dart, des Riviera et des Mustang, parfois dégotées dans des granges, toutes déglinguées, en mode abri pour famille de ratons-laveurs !… bref des bagnoles à l’esthétique hyper catchy, aux moulins surgonflés et rugissants, à une époque où on se tapait pas mal des coefficients aérodynamiques et du prix du gallon d’essence… j’adore. Quoi la Yaris hybride ? mais de quoi tu parles ??!
Marrant comme certains groupes reviennent à la surface, tandis que d’autres restent au fond de la mare, comme s’ils étaient lestés de ciment… une explication ? j’en ai aucune… je me retrouve devant le fait accompli et c’est tout. Quelques exemples : Mudhoney je peux plus, Sonic Youth idem, Superchunk carrément oui, Alice Donut non, Seaweed OK, Lunachicks pourquoi pas mais sans plus, Moving Targets fuck yeah… donc, retour à la surface de Bullet Lavolta. Pour l’anecdote, un groupe découvert bicause un t-shirt qu’un type portait à un concert au Democrazy, à Gent, vers 1990 ! Intrigué, ce logo BLV, avec les volatiles en cercle autour, et aussi le fait que le type porte ce truc à un show où tu te trouves, goûts communs, etc etc… Ouais c’était bien avant internet… comme quoi l’effet com du t-shirt fonctionne… bref découverte de ce combo de Boston avec l’album « swandive », topé pour une poignée de cacahuètes dans une échoppe d’occases… et très bonne surprise, ça brasse large, le cocktail est savoureux : c’est pas punk-rock, ni metal, ni pop, ni grungy mais tout ça à la fois ! Le boulot des gratteux est impressionnant, c’est bourré d’énergie, le chanteur a une voix mortelle, en plus d’avoir un nom de perso de cartoon (Yukki Gipe)… j’ai topé « the gift » un peu plus tard, et même recette hyper efficace à la clé… un premier album puissant, plein de hargne et aux compos inspirées… à noter que Ken Chambers (Moving Targets) et Corey Loog Brennan (Lemonheads) ont fait partie du line-up de Bullet Lavolta… c’est pas les premiers mecs venus quoi ! pour tester (vas-y ça vaut le coup), c’est par ici :
THE SNEETCHES – lights out with the sneetches
Encore un CD qui a échappé au tri sélectif, normal, ça rentre encore comme dans du beurre… chopé pour pas cher dans une cool boutique qui se trouvait rue de la clé, avec un sous-sol puant l’humidité et tout (d’ailleurs c’est là qu’il y avait les skeuds les plus cheap), une échoppe où j’ai craqué moult biftons, et découvert des tas de groupes. Les Sneetches (de San Francisco, il me semble), un trio qui officiait dans la pop lumineuse, celle qui prend ses racines dans les compos les plus classieuses des Turtles, Easybeats et autres Kinks, avec la dose parfaite de DB’s, Flamin’ Groovies, Shoes… des arrangements précis, des guitares qui claquent et surtout un sens de la compo fabuleux ! séduit à la première écoute… J’ai jamais trouvé un autre skeud de ce groupe, sinon je l’aurais pris, pas de problème. Mes sessions de chasse au CD d’occase, ça s’amenuise maintenant. Un échantillon ici :
CODE ORANGE – I am king
Coup de coeur immédiat, sur un groupe dont j’avais seulement croisé le nom ici et là. Evoqué lors d’une session Electric Ballroom, au sujet de leur changement de nom (ils ont viré le « Kids » à la fin de Code Orange… pourtant ils sont pas bien vieux)… donc, jamais écouté Code Orange. Jusqu’à un enchaînement de circonstances et autres faisceaux d’indices. Je traîne sur la chaîne YT de No Sleep, et je vois une session acoustique de Adventures (en fait juste Reba Meyers + la meuf au clavier), touché ! Je file voir quelques vidéos de Adventures, dans le trip indie 90’s, bam ! j’apprends ensuite que c’est la même clique qui officie sous ce nom (- la meuf au clavier) évoqué plus haut, d’abord Code Orange Kids, puis Code Orange. Visionnage de vidéos et torgnole en commençant avec le titre « dreams in inertia », whoa, du HC coupé au sludge, avec des passages noisy… tu parles d’un mélange… franchement ça me tue, je trouve ça super audacieux… après je vais être honnête j‘ai bloqué sur cet album une dizaine de jours, c’est déjà pas mal, mais je vais pas non plus écouter Code Orange H 24… de toute façon avec le net (j’en discutais il y a peu avec Frank Slow Death) difficile de rester coincé sur un groupe, vu que ça pousse toujours derrière… d’ailleurs ce skeud, je l’a pas acheté, je l’ai pas téléchargé, je l’ai juste écouté via leur page bandcamp… le but, c’est d’éprouver des sensations, même si c’est pour une courte période… donc, cet album m’a mis à genoux une grosse semaine, et c’est ça qui est cool. Style ce que j’avais envie d’écouter, pile le bon timing et tout… donc carrément à sa place dans un top mensuel… j’ai même visionné quelques concerts via YT, bien intenses, public hyperactif, comme le groupe en fait… et la meuf Reba a un putain de charisme, avec sa tignasse rousse qui virevolte dans tous les sens… coolos !
PIERRE OUIN
Comme pour Patrick Mc Nee il y a peu, une triste nouvelle qui se retrouve dans un top mensuel… zarbi mais bon. Pierre Ouin, il mérite qu’on en parle un peu… en ce qui me concerne, un des dessinateurs qui m’a carrément donné envie de persévérer dans le graphisme, sachant que j’étais pas taillé pour faire des choses à la Jack Kirby ou Frank Frazetta… pas capable de taper dans le réalisme, mais également une part de choix perso… la réalité me soûle, donc pas envie non plus de la représenter sur une feuille de papier… Pierre Ouin, ça me ramène direct à l’époque où j’achetais Metal Hurlant, ainsi que les autres mags des Humanos, Rigolo et Metal Aventures, vers 83/84. Le mec faisait partie des gribouilleurs qui m’ont mis à genoux, dès la première vision de leurs planches. Lui, Michel Pirus, Max, Charlie Schlingo… graphismes sauvages, histoires débridées, ça fonçait tout droit, pas de prisonniers, rien à foutre de l’académisme… et ça m’a scotché d’entrée, à l’inverse d’autres auteurs édités dans ces mêmes pages, des mecs comme Schuiten et Peteers par exemple (jamais su qui écrivait et qui dessinait, ça m’intéressait pas)… ces mags m’ont aussi ouvert les yeux sur Gary Panter, Charles Burns, Richard Corben, Serge Clerc, Yves Chaland… et j’en passe des tonnes. Je dois avouer que Max a été le plus influent sur moi, surtout dans l’esprit. Genre tu dessines pas comme un néo-classique ? Rien à foutre, fais ton truc, comme tu le sens… je le confesse, au niveau dessin pur, Pirus a été la plus grosse claque, ce trip Calvo Disneyesque !!! mais j’arrête de digresser… retour à Ouin. Découvert dans Metal, via des pages de Bloodi, son anti-héros junkie, ses aventures picaresques dans Paname, à la recherche de dope… des dessins géniaux, un genre de ligne claire dynamitée de l’intérieur, avec une foule de détails, qui remplissent l’espace… « Bloodi trouve pas l’égout », « Bloodi et les rongeurs », ainsi que les trucs élaborés avec son acolyte Max, « suck Korea suck » et « fuck, fly & bomb »… des albums bidonnants, wild, ultra cool quoi… un pan de l’histoire de la BD française, à l’époque où les Humanos éditaient des tonnes de choses magiques, avec un esprit irrévérencieux et moderne… j’avoue j’avais lâché le morceau fin des années 80, quand le mec dessinait pour le Psikopat. Ce mag de la bande à Carali, ça ne m’a jamais trop parlé, Fluide Glacial tout ça, pas mon trip du tout. Mais bon, Pierre Ouin, pour moi ça voudra toujours dire quelque chose. So long mec.
FAST N’ LOUD (GAS MONKEY GARAGE)
le prototype du show Discovery Channel que je peux mater à la file, par packs de 6... on y suit les aventures de deux mecs qui gèrent le Gas Monkey Garage à Dallas, Texas. Leur truc c’est de racheter (à bas prix si possible) des vieilles caisses, de les remettre à neuf et de les revendre en faisant un max de profit (si possible, toujours)… le boss (Richard Rawlings) pousse au cul son crew, bicause il a de gros frais, pas seulement les pièces détachées qui peuvent être rares à choper et la main d’œuvre, mais il doit aussi faire tourner son bar/resto/salle de concerts en plus de son garage ! Ouais la libre entreprise aux USA, c’est pas du flan… donc le gars s’énerve et pousse des gueulantes sur ses employés (dont le mécano en chef Aaron Kaufman à la barbe ZZ Top-esque… hey, on est au Tejas ou pas ?) les bagnoles remises à neuf doivent se vendre avec moult bénefs lors des ventes aux enchères… bonne ambiance dans cette série doc, les types aiment bien déconner, faire des burn-out sur le parking, boire des canettes, démolir des trucs (exactement comme les gonzes de American Chopper, d’ailleurs la clique Gas Monkey parodie le clan Teutul dans un épisode bidonnant) et c’est aussi extrêmement bien torché, comme d’hab sur Discovery. Et niveau caisses ben on est du bon côté de l’océan, les mecs vont pas se faire chier à remettre en état des foutues 4L ou des 504 break (ah le temps des cool chignoles françaises, les Aronde P 60 et Rush, Ariane, Versailles, Chambord, Beaulieu…), chez Gas Monkey on sue plutôt sur des Super Bee, des Dart, des Riviera et des Mustang, parfois dégotées dans des granges, toutes déglinguées, en mode abri pour famille de ratons-laveurs !… bref des bagnoles à l’esthétique hyper catchy, aux moulins surgonflés et rugissants, à une époque où on se tapait pas mal des coefficients aérodynamiques et du prix du gallon d’essence… j’adore. Quoi la Yaris hybride ? mais de quoi tu parles ??!
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