J’aurais pu appeler ce truc “Pretty Girls Make Graves” aussi… j’aime les Smiths mais je préfère NEW FOUND GLORY, et de loin, ha ha.
Bref. L’enfer des stagiaires de 25 piges. Des femmes, techniquement, mais qui retrouvent leurs douze ans en une seconde, genre boo hoo hoo je veux un poney. Tarées au dernier degré. Schizo. Psychotiques. Mais tellement jolies… comme me dit ma coach emo perso : « t’aimes bien quand c’est compliqué ». Terrain miné ? J’y fonce, la queue à l’air, comme un débile.
Niqué encore une fois, bercé d’illusions (des illusions, peu tête mais cette nana m’a bien poussé dans ce sens, ça faisait vraiment vrai…), victime du putain de jeu de la drague : certaines personnes veulent éprouver à tout prix leur pouvoir de séduction, ou se rassurer, ou faire chier inutilement, ou leur esprit est tordu au point de s’amuser à ça. Ou leur vie est un merdier hors contrôle dominé par le doute. Je me perds en conjectures et au fond je m’en branle.
Même fictif, son intérêt pour mézigue c’était cool. Le délire One Tree Hill quoi, ça change pas des masses.
Des grands yeux à la Sinead O’Connor, des taches de rousseur et des longs cheveux aux reflets roux peuvent cacher une putain de créature prête à vous arracher le cœur, kif dans INDIANA JONES & LE TEMPLE MAUDIT !!! Elle te le collera sous le pif, encore palpitant et enflammé. Prête à te balancer dans un enfer de lave en fusion. Dix jours sur le barbecue, et quand tu abats un peu ton jeu, c’est la fuite… le principe du lapdance : on te chauffe à blanc, surtout on touche pas et on va évacuer la pression comme on peut .
J’y connais pas grand chose à pas grand chose mais ça sert de leçon tout ça, c’est pas la première fois et ça sera pas la dernière. Anyway on s’en balance. Mon coeur appartient pour la vie à Peyton Elizabeth Sawyer. Elle, elle m’aime.
Bref je rentre chez oim’, les écouteurs vissés dans les oreilles, le dernier Taking Back Sunday à burnes… le disque de la semaine, le meilleur des anti-dépresseurs. Comme disait (grosso merdo) Jim Reid en interview, « des fois t’as envie de te foutre en l’air et un bon skeud ça te remet en selle ». Bien jeté. Mais j’ai pas envie de me foutre en l’air. Cette meuf est déjà au fond de la cale, dans une caisse que j’ouvrirai plus jamais, et qui filera aux encombrants un de ces quatre.
Ce soir c’est ranque avec le Wize, on file revoir RUMBLE IN RHODOS dans le ghetto. Bonne soirée, détendue, Greg qui fait le show, on se marre bien, c’est cool. Je rencontre un gars de Fall Of Messiah, très sympa. Première partie qui nous sort de la salle en 1’ 30’’… on jacasse dehors et on revient pour les Norvégiens, des mecs cools, et la niaque sur scène, dans le délire ATDI, avec un chanteur qui me fait penser à Dennis Lyxsen (gestuelle, jeu de jambes) mais heureusement sans le discours socio-politique pour révolutionnaires de salon de thé. La classe.
Bref une journée plutôt réjouissante au final. Malgré tout.
Bref. L’enfer des stagiaires de 25 piges. Des femmes, techniquement, mais qui retrouvent leurs douze ans en une seconde, genre boo hoo hoo je veux un poney. Tarées au dernier degré. Schizo. Psychotiques. Mais tellement jolies… comme me dit ma coach emo perso : « t’aimes bien quand c’est compliqué ». Terrain miné ? J’y fonce, la queue à l’air, comme un débile.
Niqué encore une fois, bercé d’illusions (des illusions, peu tête mais cette nana m’a bien poussé dans ce sens, ça faisait vraiment vrai…), victime du putain de jeu de la drague : certaines personnes veulent éprouver à tout prix leur pouvoir de séduction, ou se rassurer, ou faire chier inutilement, ou leur esprit est tordu au point de s’amuser à ça. Ou leur vie est un merdier hors contrôle dominé par le doute. Je me perds en conjectures et au fond je m’en branle.
Même fictif, son intérêt pour mézigue c’était cool. Le délire One Tree Hill quoi, ça change pas des masses.
Des grands yeux à la Sinead O’Connor, des taches de rousseur et des longs cheveux aux reflets roux peuvent cacher une putain de créature prête à vous arracher le cœur, kif dans INDIANA JONES & LE TEMPLE MAUDIT !!! Elle te le collera sous le pif, encore palpitant et enflammé. Prête à te balancer dans un enfer de lave en fusion. Dix jours sur le barbecue, et quand tu abats un peu ton jeu, c’est la fuite… le principe du lapdance : on te chauffe à blanc, surtout on touche pas et on va évacuer la pression comme on peut .
J’y connais pas grand chose à pas grand chose mais ça sert de leçon tout ça, c’est pas la première fois et ça sera pas la dernière. Anyway on s’en balance. Mon coeur appartient pour la vie à Peyton Elizabeth Sawyer. Elle, elle m’aime.
Bref je rentre chez oim’, les écouteurs vissés dans les oreilles, le dernier Taking Back Sunday à burnes… le disque de la semaine, le meilleur des anti-dépresseurs. Comme disait (grosso merdo) Jim Reid en interview, « des fois t’as envie de te foutre en l’air et un bon skeud ça te remet en selle ». Bien jeté. Mais j’ai pas envie de me foutre en l’air. Cette meuf est déjà au fond de la cale, dans une caisse que j’ouvrirai plus jamais, et qui filera aux encombrants un de ces quatre.
Ce soir c’est ranque avec le Wize, on file revoir RUMBLE IN RHODOS dans le ghetto. Bonne soirée, détendue, Greg qui fait le show, on se marre bien, c’est cool. Je rencontre un gars de Fall Of Messiah, très sympa. Première partie qui nous sort de la salle en 1’ 30’’… on jacasse dehors et on revient pour les Norvégiens, des mecs cools, et la niaque sur scène, dans le délire ATDI, avec un chanteur qui me fait penser à Dennis Lyxsen (gestuelle, jeu de jambes) mais heureusement sans le discours socio-politique pour révolutionnaires de salon de thé. La classe.
Bref une journée plutôt réjouissante au final. Malgré tout.
1 commentaires:
31 décembre 2009 à 09:44
Oh quelqu'un qui n'aime pas mon travail de programmateur!!! ah ah
Dommage que tu n'aies pas trop aimé Shiko Shiko, ce qui peut se comprendre... Même si moi je suis archi fan!
Enregistrer un commentaire