Se tailler de Lille, capitale des Flandres (mon cul : pour moi la capitale des Flandres c’est Gent), pays de la moule-frites, décharge à ciel ouvert… my hometown. Qui me manque que quand je suis coincé dans une ville genre… Epinal. Entre un train et un bus pour aller à Gérardmer.
Destination Paris. Quoi de plus normal que d’utiliser une chanson de LSD pour titrer ce bla bla ? Dès que je débarque à Gare du Nord j’ai « Tendance négative » en tête. Je file dans le métro : « Jaurès-Stalingrad ». Des potes, du show. Oublier la merde pour 72 heures. Changement à Strasbourg-St Denis, terminus Charonne. Si j’étais à 20 000 km ça serait pareil.
Ce soir direction le PIX (dans le 20)… cool un endroit où je suis jamais allé, pour voir des groupes que je connais pas, où personne ne m’a jamais vu… l’homme invisible. Appelez-moi Claude Rains. Le bar est pas mal blindé, et y’a du look : tendance punk/batcave. C’est dingue j’en vois plus jamais des gens fringués comme ça (mais je sors très peu), rien à voir avec les petits goths du samedi aprème, c’est back to the future… ça sent le rassemblement via myspace des fans du premier groupe : ELVIRA & THE BATS. On descend dans la salle (lire : la pièce du bas), pas mal de monde mais c’est hyper exigu… les Bats attaquent et c’est typique dépressif Berlinois 80, genre Malaria/Guerre Froide… boîte à rythmes minimaliste, guitare en retrait qui fait crrrrrrrrrrr, lignes de basse à la Peter Hook, et chant d’outre-tombe… crêtes/choucroutes pour la bassiste et la chanteuse. Du noir, des colliers, des zips, des chaussures pour aller sur la lune. Les gens sont au taquet. Moi moyen, alors je remonte, pour voir que dans le fond du bar, un mec au clavier accompagne des meufs qui chantent des trucs variète. Soirée mixité musicale… on s’en jette un et on redescend. Un peu moins de monde pour voir GOOD MORNING BLEEDING CITY. Des mecs jeunes et à bloc, un chanteur hystéro, un truc chaos à la Converge. Cool. J’apprécie. Comme d’hab je sélectionne la reine de la promo : une petite meuf violemment mignonne, avec une queue de cheval et des fesses rebondies, qui remue comme une dingue. Nouvelle interruption, on va jacasser en haut… toujours des reprises de tubes radio. Mais pas des tubes comme dans les séries US que j’adore. Je trouve ma Heineken dégueu. C’est moi ou toujours comme ça ? Ou parce que je bois quasi plus jamais ? Mais ce soir c’est spécial, c’est les vacances. Je fais mon punk, je bois de la bière. Je me fonds dans le décor. Homme invisible, toujours.
Nouvelle descente au sous-sol. Ca pue le gymnase. Plus trop de monde. Genre 11 personnes. Dont la reine de la promo, c’est cool. Ambiance de fou donc pour accueillir SEPTIC CHRIST, des thrash métalleux allemands. C’est super bien fait, le chanteur est tout petit, avec des tattoos Beavis et Butt-Head. Classe. Le batteur défonce. Les gars sont super souriants, ça fait plaisir à voir. Ce qui fait que je reste jusqu’au bout du set, même si moi le metal je l’aime très lent et oppressant. Pis je continue à jeter des regards à miss fesses rebondies. On fait avec ce qu’on a.
Ultime bière au bar. Ca sent la fin de soirée… un type qui bosse là ferme le rideau de fer violemment, super-vénère, genre si un chien était passé par là au même moment : bam, deux demi-chiens. Mais pas de chien, et le type s’évacue vers la cuisine. Et plus rien. Il est temps de rentrer. Un canapé super moelleux m’attend après deux traits de métro. Cool soirée ...
Destination Paris. Quoi de plus normal que d’utiliser une chanson de LSD pour titrer ce bla bla ? Dès que je débarque à Gare du Nord j’ai « Tendance négative » en tête. Je file dans le métro : « Jaurès-Stalingrad ». Des potes, du show. Oublier la merde pour 72 heures. Changement à Strasbourg-St Denis, terminus Charonne. Si j’étais à 20 000 km ça serait pareil.
Ce soir direction le PIX (dans le 20)… cool un endroit où je suis jamais allé, pour voir des groupes que je connais pas, où personne ne m’a jamais vu… l’homme invisible. Appelez-moi Claude Rains. Le bar est pas mal blindé, et y’a du look : tendance punk/batcave. C’est dingue j’en vois plus jamais des gens fringués comme ça (mais je sors très peu), rien à voir avec les petits goths du samedi aprème, c’est back to the future… ça sent le rassemblement via myspace des fans du premier groupe : ELVIRA & THE BATS. On descend dans la salle (lire : la pièce du bas), pas mal de monde mais c’est hyper exigu… les Bats attaquent et c’est typique dépressif Berlinois 80, genre Malaria/Guerre Froide… boîte à rythmes minimaliste, guitare en retrait qui fait crrrrrrrrrrr, lignes de basse à la Peter Hook, et chant d’outre-tombe… crêtes/choucroutes pour la bassiste et la chanteuse. Du noir, des colliers, des zips, des chaussures pour aller sur la lune. Les gens sont au taquet. Moi moyen, alors je remonte, pour voir que dans le fond du bar, un mec au clavier accompagne des meufs qui chantent des trucs variète. Soirée mixité musicale… on s’en jette un et on redescend. Un peu moins de monde pour voir GOOD MORNING BLEEDING CITY. Des mecs jeunes et à bloc, un chanteur hystéro, un truc chaos à la Converge. Cool. J’apprécie. Comme d’hab je sélectionne la reine de la promo : une petite meuf violemment mignonne, avec une queue de cheval et des fesses rebondies, qui remue comme une dingue. Nouvelle interruption, on va jacasser en haut… toujours des reprises de tubes radio. Mais pas des tubes comme dans les séries US que j’adore. Je trouve ma Heineken dégueu. C’est moi ou toujours comme ça ? Ou parce que je bois quasi plus jamais ? Mais ce soir c’est spécial, c’est les vacances. Je fais mon punk, je bois de la bière. Je me fonds dans le décor. Homme invisible, toujours.
Nouvelle descente au sous-sol. Ca pue le gymnase. Plus trop de monde. Genre 11 personnes. Dont la reine de la promo, c’est cool. Ambiance de fou donc pour accueillir SEPTIC CHRIST, des thrash métalleux allemands. C’est super bien fait, le chanteur est tout petit, avec des tattoos Beavis et Butt-Head. Classe. Le batteur défonce. Les gars sont super souriants, ça fait plaisir à voir. Ce qui fait que je reste jusqu’au bout du set, même si moi le metal je l’aime très lent et oppressant. Pis je continue à jeter des regards à miss fesses rebondies. On fait avec ce qu’on a.
Ultime bière au bar. Ca sent la fin de soirée… un type qui bosse là ferme le rideau de fer violemment, super-vénère, genre si un chien était passé par là au même moment : bam, deux demi-chiens. Mais pas de chien, et le type s’évacue vers la cuisine. Et plus rien. Il est temps de rentrer. Un canapé super moelleux m’attend après deux traits de métro. Cool soirée ...
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