tag:blogger.com,1999:blog-68777945861616439422024-03-12T21:25:43.830-07:00CRUST CAVIARUnknownnoreply@blogger.comBlogger123125tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-32652794739356621782020-05-02T07:58:00.000-07:002020-05-02T08:07:36.875-07:00The Shinobi Demo Tapes<img border="0" src="https://www.xwizex.com/crustcaviar/drake_shinobi_crustcaviar.jpg" width="615" height="615" />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-60817583062324301302017-05-08T03:08:00.000-07:002017-05-08T03:09:37.494-07:00Laetitia Casta x Church of Ra<center><img src="http://www.crustcaviar.com/images/crust-caviar-laetitia-casta-church-of-ra-amenra.jpg"><br><br>Source : <a href="https://www.facebook.com/groups/ChurchofRaGermany/"><b>Church Of Ra Fellowship Europe Facebook Group</b></a></center><br><br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-5631522848270562182017-02-06T09:22:00.001-08:002017-02-06T09:23:32.244-08:00J.COLE x BRAND NEW<center><img src="http://www.crustcaviar.com/images/crust-caviar-j-cole-homecoming-brand-new-devil-god-raging-inside-me.jpg"></center><br><div align="justify">Watched the <strong>J.COLE</strong> HBO documentary "Forest Hills Drive: Homecoming" from last year and there was this guy with a <strong>BRAND NEW</strong> t-shirt (The Devil And God Are Raging Inside Me - era), well … that's all.</div><br><br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-6403038942243227292017-01-12T09:33:00.000-08:002017-01-12T09:33:34.471-08:00TOP 2016 - DAVID<div class="separator" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;">
<img border="0" src="https://3.bp.blogspot.com/-vDwgVCqt6cE/WHPeLU886wI/AAAAAAAAB-E/90OdCr4HAb4E1IMf1LdHxZOrH-6VLzTywCLcB/s1050/TOP-2016-David.png" /></div>
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<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>ALBUMS</b><br /><br /><b>AMYGDALA</b> - Population Control<br /><b>ANGEL OLSEN</b> - My Woman<br /><b>BITPART</b> - Beyond What’s Left<br /><b>COMA REGALIA</b> - There’s Still Time</span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">DOE</span></b> - <span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">Some Things Last L<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">onger Than You</span></span></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>FURY</b> - Paramount<b> </b></span><br />
<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>LVL UP</b> - Return To Love<br /><b>MARTHA</b> - Blisters In The Pit Of My Heart<br /><b>VANITY </b>- Don’t Be Shy<br /><b>WOODWORK</b> - Ordinary Violence</span><br />
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<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">EP</span></b><br />
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<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>DREI AFFEN </b>- S/T<br /><b>G.L.O.S.S. </b>- Trans Day Of Revenge<br /><b>OLD SOUL </b>- Blue Heron<br /><b>PRAISE </b>- Leave It All Behind<br /><b>SELF DEFENSE FAMILY </b>- Colicky</span><br />
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<b><span style="font-family: "verdana" , sans-serif;">CONCERTS</span></b><br />
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<span style="font-family: "verdana" , sans-serif;"><b>SAUNA YOUTH</b> @ Music City, Anvers (BE) - 04/02/2016<br /><b>TOTAL VICTORY</b> @ CCL, Lille (FR) - 20/02/2016<br /><b>WEEZER</b> @ Heineken Music Hall, Amsterdam (NL) - 08/04/2016<br /><b>AMYGDALA</b> @ Cry Me A River Fest 2016, Versmold (DE) - 25/06/2016<br /><b>CASSUS</b> @ Cry Me A River Fest 2016, Versmold (DE) - 25/06/2016<br /><b>SPORT</b> @ Le Kalvaire, Dunkerque (FR) - 21/08/2016<br /><b>RADIOACTIVITY</b> @ La Mécanique Ondulatoire, Paris (FR) - 25/08/2016<br /><b>PILE</b> @ Magasin 4, Bruxelles (BE) - 15/10/2016<br /><b>CAREER SUICIDE</b> @ Music City, Anvers (BE) - 19/12/2016 </span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-87492822622086319902016-07-31T07:00:00.003-07:002016-07-31T07:01:30.804-07:00SUNNYDALE EXPRESSTOP JUILLET 2016<br><br>
<center><img src="http://crustcaviar.com/images/crust-caviar-mickson-lili-reinhart.jpg"></center>
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<b>« on fait la course avec les voitures ambulances » <br>
STRANGER THINGS </b> <br>
Big up à David Bro qui m’a branché là dessus. Illico, je teste (il a été convaincant, juste en utilisant quelques mots-clés) et je suis scotché. Cette série fantastique (dans tous les sens du terme) usinée par Netflix tire sur les bonnes ficelles, The Goonies, Rencontres du 3ème Type, E.T, Poltergeist, Stephen King, Paper Girls (le comic) et j’en passe des caisses, bref le genre de repères qui m’allument des grosses ampoules dans la tête (fine allusion… je dis rien). Référencé as fuck ! 1983, une petite ville de l’Indiana (comme Eerie), des kids confrontés à la disparition d’un membre de leur gang, des adultes dépassés par les évènements, tout ça c’est encore plus dark qu’un enlèvement crapuleux ou une simple fugue… casting au poil (Winona Ryder en tête) et scénar haletant, on torche ces 8 épisodes rapidement parce que c’est de la super came !!! Une bonne immersion dans les années 80, rien que le générique avec le logo Star Wars stylee et ce thème qui aurait pu être composé par le John Carpenter lui-même !! 8 épisodes donc, le temps de monter en tension et ça conclut… je spoile rien, va checker ça… c’est de la balle. Cool format, cool histoire, cool ambiance. Cool.
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<b>“en attendant d’y aller, je fais du surf dans le caniveau”<br>
BETTY & VERONICA </b>
Jeeezus ! niveau Archie Comics j’ai toujours été lecteur occasionnel, surtout des recueils annual, le genre compile quoi. La bande à Archie, ça me parle à mort. Une petite ville, la bande de gens cool (avec qui on voudrait être potes, même avec Moose), les lockers, le bahut, des rendez-vous, des quiproquos, des bagnoles vintage, des maladresses, du fun, et ça se termine souvent chez Pop’s à s’empiffrer de sundaes. L’American Way Of Life. Vas-y trouve un truc plus 100% ricain que Archie comics… depuis 75 ans !!! dingue… genre j’en ai loupé des strips… et big influence sur les frangins Hernandez… là cet univers prend un coup de jeune (sous l’appellation « New Riverdale ») via la nouvelle série Archie, 6 numéros déjà sortis) et une série The CW/Netflix prévue pour 2017… en parallèle voilà le #1 de Betty & Veronica, une histoire qui démarre au poil (le narrateur c’est Hot Dog le clébard de Jughead) : scandale à Riverdale : Pop’s va fermer sa boutique vu qu’il est bouffé par une chaîne nationale de coffee shops… la bande se mobilise pour lui venir en aide. Mais ça va mettre en danger l’amitié de Betty et Veronica… j’en dis pas plus. Cool de remettre en avant les deux copines, dans une ambiance différente, (un peu) plus adulte… évidemment j’ai choisi mon camp, Betty Cooper 4 Ever, l’incarnation de la meuf Américaine, jolie, marrante, et avec un grand cœur… vivement la suite.
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<b>« pas de raison de se plaindre » <br>
INDEPENDANCE DAY : RESURGENCE</b>
A l’heure où je tape ces lignes ça fait huit jours que j’ai vu ce film, et il ne m’en quasi reste rien… mais je me souviens que ce bidule (à 165 millions de dollars) a fait son job pendant deux heures… je veux dire certains films ne remplissent même pas ce contrat minimum… bon copié/collé du premier, plein de gus sont à nouveau présents à l’appel, Goldblum, Pullman, Judd Hirsch… des nouvelles têtes (dont une seule qui m’a marqué = Maika Monroe !!) bref pas grand chose à dire, des aliens à l’attaque, faut se défendre, tout est plus gros et plus bruyant et simple as fuck, on trouve des solutions à des problèmes monstrueux en 2 secondes en matant des photos satellites… histoire ultra plate, pas de souci, on s’attendait pas non plus à quelque chose de plus fin et tricky… la mauvaise foi des gars qui mettent ce truc en pièces !!! allez donc revoir « le septième sceau » (très bon film d’ailleurs) et fermez donc vos putains de gueules… les persos ne sont que des silhouettes qui parlent, des marionnettes à la Sifl & Olly, et ça défile sur l’écran… plein d’agitation et du discours en mode pseudo justification… des raccourcis en pagaille… par contre mise en scène mahousse, effets spéciaux bien cool et designs au poil, chouette photo, du tout bon… fun et bon esprit, honnête quoi, j’ai pas eu l’impression de me faire plumer de mes 5 boulles… c’est cool d’être exigeant, mais pas tout le temps.
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<b>« jsuis punk, c’est fantastique ! »<br>
LES RASOIRS ELECTRIQUES – Sud Vicious</b>
je me sors les doigts du luc et je recolle au peloton… en écoutant le sampler 2016 Guerilla Asso le morceau des Rasoirs me rappelle que je suis pas allé voir ce qui se passe de leur côté depuis un moment… kolossale erreur… les gars ont ressorti un skeud (le 4ème …avec un titre qui m’a fait pouffer… OK il m’en faut pas lourd…) et comme d’hab je prends ma raclée… les trucs français qui chantent en français c’est à petites doses chez moi, mais depuis leur 1er shot ce groupe m’a envoûté… ce mix de Sheriff/Rats + influences ricaines à la Briefs & Exploding Hearts ça le fait carrément… et ces putains de paroles, absolument géniales… de l’énergie punk et de la mélodie pop, des solos cinglants et des harmonies vocales qui me tuent, c’est encore une fois du super bon taf… tellement direct in ya face, de quoi réveiller des frissons ado, qui ne dormaient que d’un œil d’ailleurs, genre qui ramènent quand on écoutait QUE du punk-rock et que tout le reste C’ETAIT NUL (ce qui est bidon… on est jeunes, on sait pas)… quand on est vieux (et qu’on en sait pas beaucoup plus) ultra-cool de se faire secouer par des groupes aussi punchy et catchy… et la langue de Molaire (laissez, c’est fait exprès) ça colle nickel à leurs redoutables compos…
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<b>« on est pas des dangers pour la société » <br>
STINKY TOYS – la totale (c’est vite fait)</b>
L’été, on dépoussière, on se remet des vieilles choses dans les oreilles, histoire de voir si ça tient encore le coup ou pas…quoique pour les deux LP des Stinky Toys j’avais aucun doute… un truc qui me hante depuis longtemps pour pas mal de raisons, et déjà le seul truc punk* français de cette vague-là que je peux encore supporter. Pourquoi ? J’ai ma théorie sur la question. Deux gros atouts dans la manche du groupe : <br>
1/ le regretté Jacno aux commandes du combo, fin mélodiste et très intelligent. C‘était un grand homme. Son parcours le prouve. <br>
2/ Elli Medeiros au chant. Un charisme dingue, une beauté à couper le souffle (et inversement proportionnelle à ses capacités vocales). Une femme merveilleuse (elle l’est encore, même si ses déhanchés twist en Capri pants à l’époque sont gravés à jamais dans ma mémoire).<br>
Deux skeuds au compteur donc, et du punk-rock certes, mais largement coupé à la pop, avec une touche rock n’roll (une histoire de génération) des guitares qui grésillent mais pas trop, des refrains super catchy… et déjà du gros tube (« boozy creed »)… on peut toujours aller checker sur YT quelques documents de leur prestations live, ça jouait pas très bien (l’abus de Valstar ?) mais en studio ça le fait carrément… c’est eux les vrais parrains de cette scène baby rockers qui nous a pollué l’existence il y a quelques années (même pas en fait…)… à noter que sur le deuxième album, des morceaux comme « birthday party » annoncent carrément la suite, le duo Elli & Jacno donc. Une plâtrée de tubes radio friendly, qui ont été largement pillés d’ailleurs. La preuve que t’as inventé un truc quand on te copie le swag (et le reste).
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* prononcer « PONK », à la Marc Zermati. C’est important.</div><br><br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-29688276731045031972016-04-01T04:39:00.000-07:002016-04-01T04:39:11.183-07:00I NEED A NEW DRUG<div align="justify">Un peu marre des tops. Provisoirement? Aucune idée… on se prend pas le chou, l’objectif c’est le même : mettre l’accent sur une poignée de trucs qui m’ont bien plu dernièrement.<br><br>
<img src="http://www.crustcaviar.com/images/mickson-cloverfield.jpg"><br><br>
Bon, « nouveau » truc… putain par où je commence… ah ouais. Aujourd’hui je me lève avec « talking in your sleep » des <b>ROMANTICS</b><br><br>
<iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/JmGMzyajA2U?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br>où j’ai chopé ça ? pas entendu récemment… juste un truc enfoui dans la cervelle et qui revient à la surface, comme un cadavre plombé par la mafia quand il est bien gonflé de gaz… bref ça pourrait être bien pire, j’aime bien ces vieux tubes. Au point de m’en faire des playlists sur youtube à l’occase. Des trucs comme « my sharona » de The Knack, « brass in pocket » des Pretenders, “making plans for nigel” de XTC, “loverboy” de Billy Ocean, “purple rain” de Prince, “sexy boy” de Air… du classique. Pour certains tubes 80, le mieux c’est qu’à l’époque je trouvais ça nul. Mais plus maintenant. Les temps changent. Vu qu’il faut partager les richesses, en voilà quelques uns de tubes : <b>THE KORGIS – everybody’s gotta learn sometimes</b><br><br><iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/UOqXy64-hTw?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br>Putain ce morceau me fait sauter au plafond. Plutôt me rouler en boule, en fait. Pop song parfaite, blindée de vibes géniales, génératrice d’images mentales et tout. Pas ouvertement plombante mais un peu quand même. Mélancolique. Je me suis rendu compte il y a peu que ce truc était sorti en 1980, j’avais l’impression que c’était plus ancien que ça, genre issu des 70’s… comme si je l’avais toujours connu. Jamais entendu quoi que ce soit d’autre de ce groupe (les Korgis, tu parles d’un nom, c’est la race des clébards que kiffe SM Elizabeth II) et whatever… méga claque !!! et retour (de claque) quand en matant pour la 1ère fois « Eternal Sunshine Of The Spotless Minds » mon poil s’est hérissé en entendant la version hyper cool signée Beck Hansen… à une époque ce mec me foutait carrément les boules (sa période « odelay » tout ça) mais il est redevenu mon pote suite à cette fameuse reprise et aussi puisqu’il a composé les putains de chansons noisy poppy des Sex Bob Omb. Ah oui et son passage dans Futurama S 3, bonnard. Sans rancune, mec.<br><br><iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/XZVpR3Pk-r8?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br><b>SOFT CELL – tainted love</b> : Monumentale chanson de ce duo, super mélodie, super voix de Marc Almond, arrangements rachitiques mais qui tapent dans le mille, un synthé + une boîte à rythmes ultra cheap et roulez… toujours l’oreille qui se dresse quand j‘entends ça. Un genre de classic radio-friendly. Chouette reprise aussi de Shades Apart, dans le trip pop punk vitaminé… prise de risque mini, je pense que ce morceau de Soft Cell, faudrait vraiment mettre le paquet pour en faire une version craignos. Mission quasi impossible. <br>Dans les vieilleries remises sur le dessus de la pile depuis quelque temps (et carrément racheté neuf !) il y a le <b>mellon collie & the infinite sadness</b> des <b>SMASHING PUMPKINS</b>. Increvable ce truc, le mec Corgan au top de son talent, pour moi un super mix entre le 1er LP du groupe et « siamese dream »… morceaux mellon-coliques gavés d’arrangements, cordes, claviers (« tonight », « 1979 »…) et d’autres plus frontaux, aux riffs bien costauds (« jellybelly ») c’est la tuerie. Le format double LP c’est pas trop ma came mais là je fais une exception. Les Pumpkins en 95 c’était l’apogée, ça vendait des caisses et ça restait très cool, ensuite ils sont partis explorer d’autres terrains, et ça m’a moins parlé… j’aime mieux figer dans le temps cette période là du groupe, les t-shirts ZERO du Billy, ce putain d’équilibre entre niaque jouissive et introspection / angst, et purée que D’Arcy Wretzky était fabuleusement merveilleuse (merveilleusement fabuleuse, ça marche aussi) au milieu des 90’s… mince quand j’ai vu dernièrement sur le net le mugshot avec sa bouille détruite au crack ça m’a foutu les boules… la drogue c’est de la merde, définitivement. Tout l’inverse de ce skeud.<br>Je me la rejoue exhumation et je me retape le 1er <b>SUPERGRASS, I shoud coco</b>. Le seul album du groupe que j’ai écouté en entier ! Pour moi Supergrass c’était des hitmakers, et plutôt doués les gars, difficile de ne pas succomber à « pumpin’ on your stereo », « Mary », « Richard III » … hyper cool d’entendre ça, n’importe où, n’importe quand… le truc labellisé brit-pop mais à l’époque du 1er LP on pouvait déceler des influences punk 77 et aussi 60’s genre Kinks et autres Pretty Things… des titres comme « caught by the fuzz » ou « mansize rooster » c’est imparable… + un tube d’entrée, bam ! (« we’re alright »)… j’ai suivi les mecs d’Oxford jusqu’à l’album éponyme (le 3ème) et ensuite j’ai lâché le morceau.<br>Fab m’envoie le dernier CD de <b>WOODSON</b> (merci mec !) intitulé <b>fieldhouse</b>. J’avais bien aimé le précédent, <b>3545 miles</b> tu parles avec cette pochette à la Friday Night Lights ! Niveau zique coolos aussi, c’est punk / emo « à l’ancienne », de grosses réminiscences Jawbreaker, Texas Is The Reason, et un chouille de Trucs DC genre Capitol City Dusters, Bluetip… très bonnes compos, en place et tout, c’est du super boulot… clear eyes, full hearts, can’t lose.<br>Les trucs cheesy à chanteuses, c’est mon vice, et ça défile à mort. C’est pas la matière qui manque, ni mon envie régulière de m’en enfiler. Il y a quelque temps c‘était petit blocage sur l’album de PVRIS. Un soir au concert, quelqu’un que je connais (et qui connaît mes goûts) me fait un bref topo sur <b>AGAINST THE CURRENT</b>. Obligé d’aller voir, et pas déçu par ce groupe, je fais la version courte : des gens qui faisaient des reprises sur youtube, puis leurs propres compos sont arrivées… buzz, repérage, etc etc… pas de surprise, terrain ultra-balisé, si tu te perds c’est que t’es vraiment naze. Ce genre de combo déboule à l’occase et c’est toujours cool. En plus il a passé haut la main mon test de l’acoustique, avec simplement une gratte et une voix, ça le fait sérieusement. Dans le mille, Emile. Marrant, Chrissy (la chanteuse de Against The Current a une page dans le dernier RS, avec sa playlist perso. Donc voilà, c’est ma période Against The Current. Aucune idée de combien de temps ça va durer… échantillon ici<br><br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/S34KpOAgyTg?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br>Niveau zique ça mollit pas, trop de trucs ! Ce que je chope, les potes qui me bombardent de liens et de suggestions… c’est du sport. La plupart du temps j’écoute ça, je stocke quand ça me branche bien puis d’autres couches viennent s’additionner… chaud ! Mais bon, je m’en tiens au motto de Riton dans « nos voisins les hommes » : TROP, C’EST JAMAIS ASSEZ ! Evidemment, certains groupes surnagent, parce qu’ils ont le petit knack qui tue en plus. Les gagnants de ces dernières semaines, les Texans de <b>CHEAP HAIRCUTS</b>. Leur album « you are the dream star » est addictif à mort !!! Les gars officient dans un trip punky/folky/emo genre fracturé avec une tension et de la trompette (sur certains titres)… ouais de la trompette… mais cool. Parce qu’à la base je sais même pas comment on peut avoir envie de se mettre à pratiquer de cet instrument… OK toujours dans le jazz mais pas dans la trompette. Mais chez les Texans, c’est juste quelques notes par-ci par-là histoire d’enrober le bordel. Comme chez les regrettés Pale Fountains quoi. Une volée de titres d’une fraîcheur incroyable, désarmants de simplicité (enfin ça a l’air simple) avec en plus des paroles géniales style « je suis fou d’une fille qui lit Sylvia Plath et qui pourrait aussi me botter le cul »… addictif à fond ce petit groupe. 800 likes et des patates sur FB. Fais péter le compteur.<br>Dans les DVDs au prix d’une poignée de cacahuètes, je tombe sur <b>THE CAR</b> un truc que je voulais voir depuis des siècles… le signal vers mon cerveau ça a été les multiples visionnages de l’épisode de Futurama avec la voiture-garoute (saison 2 je crois) qui est en partie une parodie de ce flick… je résume vite fait : Bender se fait renverser par une voiture-garoute et il en devient une à son tour. Le crew Planet Express l’aide à briser la malédiction en partant sur les traces de l’origine du mal… fumant ! quand l’homme de fer est en mode lycanthrope (si on peut dire) il revêt le look de la bagnole tueuse dans The Car, soit une Lincoln Continental 71 pimpée… le pitch du film va pas plus loin : une énorme berline noire qui renverse des gens… qui est au volant ? personne on diraît ! bagnole diabolique ?? Une curiosité ce truc, un genre de Dents de La Mer dans le désert de l’Utah, avec une bagnole qui remplace Bruce le requin. Un peu bancal, quelques longueurs, mais c’est une curiosité. Casting chelou (James Brolin, Ronny Cox jeunot et John Marley, un habitué de chez Cassavetes) mais ça fonctionne… la fin fait penser très fort à un autre film de Spielberg mais chut… nickel pour un samedi soir en bouffant des Pringles… chic & pas cher. On continue avec la série « tout à deux boulles » avec <b>MAMA’S BOY</b>. Comédie avec Jon Heder, je prends… Jeffrey est un post-post ado (de 29 ans) limite asocial et vit chez sa mum (Diane Keaton), leur vie est carrée as fuck, jusqu’au jour où celle-ci rencontre un guru / life coach (Jeff Daniels) et ça clique bien entre eux. Ca commence à foutre le merdier dans la vie du fiston. Jeffrey va essayer de bousiller cette relation qui menace ses petites habitudes (pas cool) et d’un autre côté il rencontre Nora (Anna Faris), serveuse dans un coffee shop et chanteuse « engagée »… ça va encore plus bordeliser sa pauvre tête… un film qui souffre d’un manque de rythme, mais bon l’histoire est cool, les délires de misfits j’adore ça. Bon cast aussi, que des gens que j’aime bien (même ceux qui font que passer, le archi vétéran Eli Wallach + la jolie Sarah Chalke / Elliooooooooooott)… quelques bonnes scènes, au mini-golf, avec l’ex de Nora au Starbucks (bah oui elle est anti-corporate !!!), elle qui porte un casque de la Wehrmacht pour faire du vélo, le vieux boss qui prête sa vieille bagnole … pas de quoi s’en relever la nuit mais bonnard dans l’intention, et y’a pas à chiquer, Jon Heder j’en suis pas mal fan… un peu plus sobre que d’hab le gaillard, mais c’est le pitch un peu bittersweet qui veut ça. Puis bon, ce genre de DVD qui coûte moins cher qu’un expresso en terrasse moi je valide !<br>Du truc encore tiède maintenant : <b>10 CLOVERFIELD LANE</b> Bon on essaie de pas trop dévoiler de choses… mentionner le fait que celui-ci n’a pas grand chose à voir avec le Cloverfield de 2008 c’est pas un secret, ni suite, ni prequel, juste dans le même univers à priori, ce titre c’est un peu une auto-référence, une simple filiation avec le film de Matt Reeves … à la base, on reste dans la thématique très grosse cata qui s’abat sur notre planète (et encore, au début, le doute est raisonnablement permis), cette fois du point de vue de trois personnages, retranchés dans un bunker. Un fermier ex-marin « prêt » depuis longtemps à ce genre d’éventualité (Howard) et deux personnes qu’il a recueillies (sauvées, selon lui), Michelle et Emmet. Alors Howard, un vrai héros altruiste ou un mec cinglé, conspirationniste et simple geôlier psychotique ? On peut se poser la question, vu que le mec peut avoir des réactions complètement flippantes. Son motto c’est FAUT SURTOUT PAS SORTIR. Un bon gros huis clos à la l’enfer c’est les autres, pas d’infos sur ce qui se passe réellement à l’extérieur, autres que celle données au compte gouttes par Howard lui-même (sa radio est muette, en tout cas c’est lui qui le dit) : air pollué / empoisonné, il faut rester confinés, et pendant combien de temps ? Cool numéro d’acteurs, le trio est très convaincant, l’ambiance est pesante, fini la shaky-cam, on reste dans la sobriété, au plus près des personnages (ça renforce le côté exigu du refuge)… on jouit d’un certain confort, mais Michelle veut à tout prix aller voir ce qui se trame à l’extérieur… on finira par découvrir ce qui se passe, en même temps qu’elle, mais chut, on en dit pas plus… un bon thriller (à 80%) qui finit par tourner SF, de la mise en scène sobre et efficace, de la tension… hyper bien foutu et prenant, dans un tout autre trip que l’autre film, c’est vraiment du super boulot, rien à dire… ici le truc c’est de te maintenir sous pression et pas de te faire sursauter (même si on sursaute un peu)… très cool film.<br>Un peu de lecture, avec le <b>REST 32</b>. En compagnie de son pote de Kraspek (pour une deuxième fois) il envoie une bonne bordée d’interviews, Syndrome 81 (marrant, le Dav m’avait envoyé des liens BC du groupe il y a peu), des mecs qui font une émission de radio sur Brest, un gars qui tient une pizzeria (j’adore ce genre d’itw) + quelques autres activistes de la scène punk… toujours cool ce zine, même si la ligne éditoriale est assez éloignée de mes goûts, mais c’est la preuve que quasiment tout est poreux dans la vie, après on a un peu collaboré à deux trois reprises avec Mr REST (hey mec, chaud pour te refaire une illu à l’occase…), et le gars a un style détendu et d’écriture bidonnant, avec des questions folles, trop cool. Sinon marrant, à chaque numéro Thierry évoque un groupe (même fugacement) qui me donne envie de m’y recoller, et cette fois c’est au tour de Justin Trouble -un dauphin du mec Jojo Thunders- de faire une réapparition dans ma vie, le temps d’une poignée de morceaux, via YT évidemment, j’avais un de ses LP (celui où il y a « <b><a href="https://www.youtube.com/watch?v=ZxCytRg2xVQ">missile</a></b> » ) mais aucune idée de ce qu’il est devenu ce skeud…<br><br>Bon, c’est tout pour cette fois.<br>Cheerz
</div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-89050253573529712672016-03-02T00:26:00.000-08:002016-03-02T00:29:27.109-08:00LES HIGHLIGHTS DE CE 2ème MOIS 2016… TOP FEVRIER<div align="justify"><img src="http://www.crustcaviar.com/images/mickson-halsey.jpg">
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<b>BOBBY PINS # 4</b><br>
Génial un nouveau numéro du Bobby Pins de Cora (épisode 4)… avec un raton-laveur en couve ! excellent ! y’a pas à chiquer le niveau reste élevé avec son zine. Les gens qui mettent beaucoup d’eux-mêmes dans leur tambouille, ça me parle. Textes bien persos, en mode fin de cycle : la miss a envie de changer de vie, brand new life (Young Marble Giants, ou Madame Est Servie, comme vous voulez) quoi… un épisode de transition ! ça se retrouve dans des petites colonnes bien écrites et bien emo aussi ! Des considérations perso qui débordent également dans les chroniques de disques, et j’adore ça. Et bien instructives ces chroniques. On a du terrain commun avec Cora niveau zique, j’avais déjà pu m’en rendre compte en écoutant <b><a href="https://www.mixcloud.com/discover/bored-to-death-radio/">Bored To Death</a></b> (son émission de radio) et donc ses reviews me donnent vraiment envie de tester certains groupes. Après tout c’est elle qui m’a branché sur Screaming Females, Bad Cop Bad Cop, les Tweens… et qui m’a donné envie de me remettre une couche de Thermals (itw de Katie Foster dans un numéro précédent)… cette fois-ci c’est Paul Collins ! Quelques chouettes dessins pour agrémenter le truc, donc fond et forme bien torchées. + quelques interviews à la clé (Big Eyes, Crapoulet rds, Gasmask Terror) et voilà… le haut du panier les mecs ! Délicieux ! et c’est pas qu’une image, la recette de mugcake qui figure dans ce 4ème shot a été testée et approuvée par ma gueule !
Seul petit regret, que ce numéro ne fasse pas 80 pages… FUCKIN’ A !
<b><a href="https://www.facebook.com/BobbyPinsZine">https://www.facebook.com/BobbyPinsZine</a></b><br><br>
<b>IGGY & THE STOOGES – raw power</b><br>
Les petites bizarreries du quotidien… associations d’idées, hasard complet, concours de circonstances tout ça ! Un soir Lisa déboule du bahut et porte un t-shirt avec la trogne d’Iggy Pop dessus… c’est la seconde fois ce mois-ci que le mec Osterberg pose virtuellement ses boots chez oim’, la 1ère c’était suite à une convers’ SMS avec le Dav’ (je lui avais envoyé le link YT de « your pretty face is going to hell »)… il m’en fallait pas plus pour remettre dans le discman « raw power ». C’est le seul Stooges qui me reste. Le seul que je peux réécouter aussi, puisque c’est rentré comme dans du beurre… y’a pas à chier, James Williamson est un putain de tueur à la six cordes, perso j’ai jamais pigé ce culte voué à Ron Asheton… affaire de goûts sans doute ! Comparé aux deux premiers skeuds des Stooges, celui-ci les détruit les doigts dans le pif… les compos sont plus inspirées, c’est moins monolithique… mêmes le trip bluesy qui transparaît en filigrane par moments est secoué et rudoyé par cette grosse niaque… « I need somebody », quel morceau… bon j’avais pas oublié que la production était aussi bordélique! Ces pistes de guitare qui enterrent tout le reste… avec la voix du Jim qui a l’air d’essayer de se frayer un chemin à travers tout ce merdier ! mais bon, ça ajoute au côté wild de l’entreprise. J’apprécie ce chaos, alors qu’il y a quelques semaines avec Wize on parlait de Joey Sturgis (AKA le Michael Bay du metalcore) et de ses prods autant clean que massives, le genre de son qui m’envoie sur orbite maintenant !!! Bref, cette vieille rondelle, je valide. En plus je sais pas combien de temps cet album va retourner prendre la poussière avant d’être remis dans le mange-disques. Who cares. Mon morceau préféré (définitivement) sur « raw power » c’est par ici :
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<b>LIKE PACIFIC – distant like you asked</b><br>
Pop-punk, for ever & ever… des groupes à 200 likes FB et des trucs bien plus gros… Like Pacific je les marque plus ou moins à la culotte depuis 2011 ou 12. Il me semble qu’on avait passé un titre de leur EP « the worst » à Ballroom à cette époque… « see you in the car, Milhouse”… c’était ça le titre… pas sûr, je vérifierais bien mais j’ai pas envie. Les gars viennent de pondre (sur Pure Noise) un skeud fabuleux… ces types c’est la vague post-The Wonder Years, Swellers, A Loss For Words & co… dans la cabine de pilotage de la locomotive, avec Neck Deep, Real Friends et autres Forever Came Calling… je crache pas sur les mecs plus vers la fin du convoi, bien au contraire (dernière découverte, Bearings, d’Ottawa, un EP mortel, « home is.. » sorti il y a peu sous le bras… check it !) bref on reste sur le continent Nord Américain, Like Pacific viennent de Toronto… et pas le temps de réagir de mon côté, puisque Wize me file ce « distant like you asked »… cimer buddy ! à l’arrivée un chouette album, super équilibré entre tension et mélodie, pop-punk avec des morceaux d’emo dedans… perso, zéro effort pour appréhender le truc. C’est parti pour des heures d’écoute, en mode « couch mosh » (technique mise au point par mézigue, inspirée à la fois des moines Shaolin et des patates de canapé… tout est dans le bon point d’équilibre)… EXCELLENT !
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<b>HALSEY</b><br>
Je me fais des cures de princesses pop mainstream à l’occase, ça fait du bien, c’est sans trop de conséquences, comme se régaler d’un tube de Pringles Texas BBQ… j’ai régulièrement mes crises Nicki Minaj, Rihanna, Miley, Demi Lovato, Ke$ha, Lana Del Rey, Carly Rae Jepsen… ça passe, ça revient, comme une maladie chronique… il y a quelques mois, je découvre Halsey (née Ashley Nicolette Frangipane, marrant non ?) via un article dans le Rock Sound. Grosse pop dancefloor concoctée par une bombe ultime qui nous vient du New Jersey… j’écoute ça quelques jours, je danse comme un damné dans le salon (en fait pas du tout…) et je mets ça de côté… puis rechute via une photo double page dans le RS (encore) de mars, on la voit en train de chiller backstage avec les State Champs ! Cool… du coup, back to youtoob et je m’enfile son album « badlands », de la bonne came, dansant et flamboyant (et aussi un peu dark parfois), super belle voix et déhanché magique… un plaisir carrément éphémère, vu que j’ai 10 tonnes de machins à écouter… kif un arrêt aux stands dans une course Nascar, on refait les niveaux et on se taille pied au plancher… 2016, faut que ça bourre, pas le temps de poser ses bagages… <br>
Le clip de « colors », avec le mec de Teen Wolf c’est ici :
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<b>PETER HOOK – UNKNOWN PLEASURES / JOY DIVISION VU DE L’INTERIEUR</b><br>
Joy Div, j’y suis venu tard, genre quatre ans après la fin du groupe. J’avais pas été trop convaincu par ce que j’avais pu entendre jusque là (« unknown pleasures » + « closer ») chez les potes. J’avais pas insisté non plus… tout a changé avec un pote (Riton) qui m’a copié sur cassette un LP pirate du groupe, « pain & pleasure ». Avec une plâtrée de morceaux hyper cool, ça commençait avec leur période bien punk-rock (quand les gonzes s’appelaient encore Warsaw), des trucs bien rentre dedans, comme « the kill », « at a later date », « failures »… le reste m’a scotché aussi, étais-je enfin prêt pour Joy Div ? on dirait bien. Je suis tombé raide de ces lignes de basse inventives et du style de Steve Morris, le batteur… « no love lost » avec cette intro qui tue… « komakino », « these days », bref tout le skeud était génial ! J’ai pu retrouver ces titres des années plus tard (1988) sur la compile « substance »… pour l’anecdote, quelques mois après ça, le Riton occupait le poste de chanteur dans un groupe que j’avais monté avec d’autres gars, et le premier morceau sur lequel on s’est fait les dents, c’était « transmission »…
bon après cette intro chiante, place au principal. Ce bouquin. Bien écrit, prenant et super intéressant. La vie du groupe du point de vue du bassiste, dans l’œil du cyclone. Blindé d’anecdotes, les débuts difficiles en plein merdier punk, les tournées chaotiques, les murges géantes, les blagues à base de sacs d’asticots, les enregistrements, leurs vies persos bouleversées… évidemment ça peut être glauque par moments, on connaît tous la fin de l’histoire, d’où une carrière météorique, fauchée en plein vol avant une toute première tournée US… les trucs racontés par Hooky peuvent être désopilants (leur trip lad / branleurs, semi-voyous), et on passe aussi de l’autre côté de la frontière en quelques pages, avec la personnalité complexe de Ian Curtis, sa maladie (l’épilepsie), son mal de vivre… Hooky nous livre un portrait multi-facettes du gars, qui pouvait être aussi très crétin, très bourré et très drôle… ça casse un peu l’aspect unique « artiste torturé » à plein temps, bref l’image superficielle qu’on peut avoir de Ian Curtis… c’est vrai que les dernières pages du book, jusqu’à son suicide, ça calme… ça permet aussi de voir dans quel milieu évoluait le groupe à cette époque, qui il a côtoyé, des Buzzcocks (leurs potes) aux Heartbreakers (des épaves)… bons passages sur les sessions studio de l’époque, avec son kit de bandes analogiques découpées au rasoir et rescotchées, de tricks d’enregistrement (utilisation de bruits et d’effets divers), les salles de répètes glaciales, les pressages merdiques et autres pochettes sujettes à polémiques ! Un livre riche, qui se lit tout seul… j’adhère ! Surtout que le dernier bouquin style bio rock que j’avais lu, c’était le truc de Kim Gordon, super soporifique !
Pas de ça ici. Du bon.</div>
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Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-3332369595617642772016-02-03T09:05:00.000-08:002016-02-03T09:21:11.637-08:00JANUARY JONES<div align="justify"><b>5 FEEL GOOD MOVIES… TOP JANVIER</b>
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<img src="http://www.crustcaviar.com/images/mickson-rick-moranis.jpg">
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<b>LOS ANGELES STORY – Mick Jackson</b><br>
Big up à Steve Martin, un des gars qui me reboostent, rien qu’à voir leur présence au générique d’un flick… dans le même panier je mets également Dan Aykroyd et John Candy. En fait je pourrais carrément allonger cette liste… j’avais immédiatement craqué sur ce film écrit et interprété par le grand Steve M, un truc plein de poésie douce-amère. Harris est un présentateur météo qui cherche un sens dans sa vie toute bidon dans la jet-set de L.A. Entouré de gens pénibles et superficiels, il dit lui-même au début en voix off qu’il « n’avait pas conscience d’être malheureux parce qu’il était toujours heureux ». Son taf, sa meuf chiante, les restos huppés, les endroits trendy, c’est son quotidien. Jusqu’au jour où il rencontre une journaliste anglaise venue écrire un papier sur Los Angeles. Celle-ci et un peu barrée et se retrouve en fin de relation amoureuse… ça connecte entre eux. Une autre rencontre, avec un panneau de signalisation sur l’autoroute cette fois, va l’envoyer dans le bonne direction… normal, c’est un panneau, c’est son boulot ! Chouette comédie, gavée d’émotion, et aussi de scènes tordantes limite slapstick (les gunfights entre automobilistes) et rehaussée par un casting de ouf, même pour des apparitions, comme celle de Chevy Chase… Rick Moranis, Richard E. Grant, Kevin Pollak, Sam Mc Murray, Iman (un des supermodels de l’époque)… gros coup de cœur pour la prestation de Sarah Jessica Parker dans le rôle de SanDeE (oui ça s’écrit comme ça), vendeuse de fringues azimutée, virevoltante et fraîche as fuck, la meuf n’a jamais été aussi jolie que dans ce film à mon avis… un poil de surnaturel, un chouille de nonsense, beaucoup de cœur, TRUE LOVE… et très bien foutu niveau mise en scène. Culte chez oim’ ce film ! J’ai rarement (voire jamais) été déçu par Steve Martin.<br><br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/0eCSmfP4g2c?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br>
<b>WEEK END EN FAMILLE – Jodie Foster</b><br>
Putain ce film m’a toujours fait penser à une bande de kids qui foutent la merde dans un repas de famille… normal, c’est une histoire de repas de famille… et ça fout la merde… et ces adultes-là ont encore une grosse part de kid en eux ! Thanksgiving, une nana qui vient de se faire lourder de son taf déboule chez ses parents. Contente d’y aller mais pas trop ! Heureusement ça va être bien plus rebondissant que prévu. Et histoire d’amour à la clé… magique non ? Encore un film qui me fout le punch, les acteurs sont tous excellents (Robert Downey Jr en tête, qui se livre à un numéro génial)… gros cast, les anciens : Charles Durning, Anne Bancroft, Geraldine Chaplin… les (grands) gamins : Holly Hunter, Robert D donc, Dylan Mc Dermott… une galerie de personnages attachants, c’est fin, sensible, bidonnant, mélancolique et aussi plein d’espoir (happy end, mais pas niaiseux… si ça avait été niaiseux j’aurais pris quand même !!!). Jodie Foster, au taquet aussi derrière la caméra… je fais court, mais faut voir ce film, addictif à fond !<br><br><iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/ThH8WocPRM0?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>LA VIE EN PLUS – John Hugues</b><br>
John Hugues encore… et toujours. Cette fois ça se passe chez les post-ados tout juste diplômés, les affres d’un 1er job, que faire de sa vie, a t-on fait les bons choix, merde je suis déjà marié, mes voisins sont tartes, les beaux-parents idem, ma femme aussi parfois, je suis déjà criblé de dettes, mon meilleur pote est libre comme l’air, lui, et purée si un bébé arrivait ??? Bien sûr qu’un bébé va arriver, le film en VO s’appelle « She’s having a baby »… comédie douce-amère, bien ficelée et pleine de vérités absolues, servie par un couple dont l’alchimie fonctionne à fond, Kevin Bacon et Elizabeth Mc Govern (et ses magnifiques yeux clairs, les plus beaux du monde…), avec en support Alec Baldwin, Holland Taylor… et j’en passe des habitués du père Hugues. Perso je suis hyper client de ces bluettes romantiques avec des touches de gravité par moments… ouais ouais pas de lèze, ça se termine bien… sur une flopée de cadors (Steve Martin, Dan Aykroyd, Magic Johnson, Bill Murray, John Candy, Edie Mc Clurg, j’arrête là d’énumérer…) en train de balancer des prénoms de bébés potentiels à la ronde, pendant le générique de fin… marrant, un an avant (1987) on aperçoit Jake / Kevin Bacon au début de Un Ticket Pour Deux, genre la lutte avec Steve Martin pour choper un taxi… fuckin A !<br><br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/OqsBuxC2g1k?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS – Frank Oz</b><br>
J’aime bien la version de Corman (1960 ?) mais j’aime encore plus celle-ci, de 1986, traitée sur le mode comédie musicale. Pas grand fan des musicals portés à l’écran, mais il y quelques exceptions, Hedwig & The Angry Inch, The Rocky Horror Picture Show, les super-classiques Chantons Sous La Pluie, Un Américain A Paris, Le Magicien d’Oz… non, pas Mamma Mia, j’ai essayé, pas moyen, pourtant Amanda Seyfried, j’adore ! ABBA, carrément moins. Bref, je valide à fond cette version 80, dans l’ambiance années 60 rythm n’ blues / soul ! Déjà l’idée de claquer un chœur antique de chanteuses pop Spectoriennes (d’ailleurs elles s’ appellent Crystal, Ronette et Chiffon) c’est hyper-cool. Tourné en studio, ce qui appuie le côté live on stage, ce film a en plus un casting qui me va droit au cœur : Rick Moranis dans le rôle principal, rehaussé de guests de luxe, Steve Martin, John Candy, Bill Murray, Jim Belushi… je reviens mollement sur le pitch : dans un quartier délabré, Muchnik (joué par Vincent Gardenia, ha ha) est un fleuriste qui vivote tant bien que mal, très peu de clients, employés sous-payés et tout. Jusqu’au jour où un des employés de Muchnik, Seymour (Moranis) trouve une plante bizarre, qu’il baptise Audrey 2 (sa collègue tartignole dont il est love-love s’appelle Audrey) et qui sert d’opération de com pour cette boutique de fleurs. Les clients déboulent pour voir le végétal bizarro, puis achètent du stock. Tout va bien, sauf que cette plante vient d’ailleurs, et qu’elle a besoin de sang humain pour survivre ! Seymour va galérer pour la maintenir en vie et garder son statut social qui vient juste de prendre du galon ! Une chouette comédie qui colle au plus près de son modèle, seule la forme diffère, les chansons sont super catchy, entre doo-wop Coasters et Motown sound, la voix d’Audrey 2 est assurée par Levi Stubbs des Four Tops, c’est pas rien ! La 1ère fois, je croyais que c’était Screamin’ Jay Hawkins, mais on s’en fout… c’est bien interprété, l’ambiance est géniale, c’est un hit pour ma pomme ! Les guests sont fabuleux, la scène où Orin Scrivello (Martin) le dentiste sado soigne un client maso (Murray) est hilarante… grand moment aussi quand Seymour va faire la promo de sa plante dans une émission de radio branque présentée par Wink Wilkinson (Candy)… je répète, une histoire, des délires différents, ça n’empêche pas d’apprécier les deux. Puisque la version Corman est cool, et c’est pas toujours le cas avec lui !!<br><br><iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/jFENSU8CmZk?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>BENNY & JOON – Jeremiah Chechik</b><br>
Début 90, je suivais le mec Depp de près. Rien ne me plaisait plus que ses choix de jouer des persos paumés, comme dans l’excellent Gilbert Grape (1993). Le mec avait réussi à se libérer des menottes de Tom Hanson (21 Jump Street, la série qui l’a satellisé)… après comme partout il faut trier. Je garde un sale souvenir de Arizona Dream, super chiant (malgré quelques belles images) d’ailleurs quand j’entends les premières mesures de « in the death car » chanté par M. Pop, une nausée me point… par contre je considère que Edward Scissorhands est l’un des meilleurs film de Tim Burton… bref on s’en fout. Benny & Joon c’est simple et touchant ; on y suit la vie de galère de Benny, qui doit s’occuper de sa sœur Joon depuis la mort de leur parents. C’est plus une gamine mais elle est atteinte de troubles mentaux (angoisses, comportement irrationnel et dangereux) donc c’est dur pour le mec, qui doit tout gérer, son taf et les tâches du quotidien… Joon rend dingue (ha ha) ses assistantes à domicile, ce qui complique tout… un jour Benny « gagne » au poker un type, Sam, en fait le cousin d’un de ses potes, qui squatte depuis trop longtemps chez lui à son goût… faut dire que le Sam est un type gentil mais carrément lunaire, en marge, au tempérament d’artiste, Charlie Chaplinesque à fond (la scène des petits pains au diner). Evidemment Benny le ramène à la maison, et Evidemment 2, ça clique entre lui et Joon. Le côté fantasque du Sam rassure la petite meuf, elle se sent mieux… puis (classique) l’amour déboule… très joli film, les personnages sont très attachants, interprétés par des cool gonzes, Aidan Quinn (Benny), Oliver Platt… par contre la petite Mary Stuart Masterson (Joon) a carrément disparu de mon champ de vision, j’avais adoré sa prestation dans Fried Green Tomatoes !<br>
Pur feel good movie, déjà vu une dizaine de fois. C’est pas fini.<br><br><iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/KKQl4ewCTQs?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-17667647986477528582016-01-12T00:02:00.000-08:002016-01-12T00:02:24.792-08:00TOP 2015 - DAVID<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;">
<img border="0" src="http://4.bp.blogspot.com/-NdYmKJkQfHI/VpQqWt-K9jI/AAAAAAAAB5w/7vzbIMCTbNI/s820/top%2Balbums%2B2015.png" /></div>
<b><span style="font-family: Verdana,sans-serif;">TOP ALBUMS 2015</span></b><br />
<br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>HELTA SKELTA</b> - Beyond the Black Stump </span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>ROYAL HEADACHE</b> - High</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>RUN FOREVER</b> - S/T</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>BROKEN WATER</b> - Wrought</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>LAIKA'S ORBIT</b> - No Matter What It Takes</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>NOTS</b> - We Are Nots</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>NERVOSAS</b> - S/T</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>LOMA PRIETA</b> - Self Portrait</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>GRAND DÉTOUR</b> - Tripalium</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>COLLEEN GREEN</b> - I Want to Grow Up</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>SPRAY PAINT</b> - Dopers</span><br />
<span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><b>BUCK BILOXI AND THE FUCKS</b> - Streets Of Rage</span><br />
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<img border="0" src="http://4.bp.blogspot.com/-dysoeIT-V94/VpQtbBt0EUI/AAAAAAAAB58/m11hwpNKOi8/s615/top%2BEP%2527s%2Bsplits%2B2015.png" /><br />
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<b><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">TOP EP'S / SPLITS 2015</span></b><br />
<br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>THE HUNCHES</b> - You'll Never Get Away With My Heart / Like I Could Die (demo de 2001, sorti chez Almost Ready en 2015)</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>SHEER MAG </b>- II</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>AMPERE / RAEIN </b>- split</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>OSTRACA</b> - Deathless</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>RUN FOREVER</b> - Big Vacation</span><br />
<span style="font-family: Verdana, sans-serif;"><b>VACANT LIFE</b> - Pain Compliance </span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-69266925583707161222016-01-02T00:01:00.000-08:002016-01-02T00:01:17.868-08:00TOP 2015 MICKSON<center><img src="http://crustcaviar.com/images/crust-caviar-mickson-top-2015.jpg"></center><br><br><br>
<center><b>TOP 10 SKEUDS 2015</b></center><br>
<br>
<b>THE INTERNET – ego death</b><br>
hip-hop/trip hop/nu soul, grande classe, la voix de Syd tha Kyd me tue, magique ! grosse surprise de cette année <br>
<br>
<b>SHORT ANSWERS – this is a perfect place</b><br>
OK, disque sorti les tous derniers jours de 2014… mais écouté comme un chien en 2015… emo (un peu old school) de ouf<br>
<br>
<b>CHUNK! NO, CAPTAIN CHUNK! - get lost, find yourself</b><br>
nouvelle torgnole des goonies easy-core<br>
<br>
<b>ON YOUR MARKS – movements in loss</b><br>
des kids bourrés de talent… emo as fuck<br>
<br>
<b>SECONDARY – if the pieces fit together</b><br>
pop-punk de première bourre pour un groupe plutôt discret<br>
<br>
<b>GREAT AMERICAN GHOST – everybody leaves</b><br>
mon album “help me hate the world” de 2015<br>
<br>
<b>FALL OUT BOY – american beauty / american psycho</b><br>
toujours attaché à FOB, 4 ever & ever<br>
<br>
<b>THE DRIVE HOME – fall in love and fall apart</b><br>
merveilleuse pop-punk des antipodes<br>
<br>
<b>AMERICAN HAIKU – the universe isn’t as scary as I thought it was, and I guess I’m OK with that</b><br>
noisy/emo/indie-pop/alt-rock… bref les mecs du groupe appellent ça du « flower violence »… je crois que je suis OK avec ça <br>
<br>
<b>WONDERFLU – call it monster</b><br>
un nouveau Wonderflu, toujours une vague de fraîcheur
<br><br><br>
<center><b>TOP 10 FILMS 2015</b><br>
<i>(VUS EN SALLES OBSCURES EN BOUFFANT DES MIKADO)</i></center>
<br><br>
<b>AMERICAN ULTRA<br>
INSIDE OUT<br>
BIG HERO SIX<br>
BIRDMAN<br>
BOB L’EPONGE – UN HEROS SORT DE L’EAU<br>
TED 2<br>
LAGGIES<br>
WHILE WE’RE YOUNG<br>
ABSOLUTELY ANYTHING<br>
LA FACE CACHEE DE MARGO </b>
<br><br>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-80640407376363428172015-12-07T01:57:00.001-08:002015-12-07T01:57:48.028-08:00TOM NOVEMBRE.<b>AH MERDE, JE VOULAIS DIRE TOP NOVEMBRE.</b><br><br><img src="http://www.crustcaviar.com/images/crust-caviar-mickson-les-rats-tequila.jpg"><br><br><div align="justify"><b>BULLET LAVOLTA – the gift + swandive </b><br>Marrant comme certains groupes reviennent à la surface, tandis que d’autres restent au fond de la mare, comme s’ils étaient lestés de ciment… une explication ? j’en ai aucune… je me retrouve devant le fait accompli et c’est tout. Quelques exemples : Mudhoney je peux plus, Sonic Youth idem, Superchunk carrément oui, Alice Donut non, Seaweed OK, Lunachicks pourquoi pas mais sans plus, Moving Targets fuck yeah… donc, retour à la surface de Bullet Lavolta. Pour l’anecdote, un groupe découvert bicause un t-shirt qu’un type portait à un concert au Democrazy, à Gent, vers 1990 ! Intrigué, ce logo BLV, avec les volatiles en cercle autour, et aussi le fait que le type porte ce truc à un show où tu te trouves, goûts communs, etc etc… Ouais c’était bien avant internet… comme quoi l’effet com du t-shirt fonctionne… bref découverte de ce combo de Boston avec l’album « swandive », topé pour une poignée de cacahuètes dans une échoppe d’occases… et très bonne surprise, ça brasse large, le cocktail est savoureux : c’est pas punk-rock, ni metal, ni pop, ni grungy mais tout ça à la fois ! Le boulot des gratteux est impressionnant, c’est bourré d’énergie, le chanteur a une voix mortelle, en plus d’avoir un nom de perso de cartoon (Yukki Gipe)… j’ai topé « the gift » un peu plus tard, et même recette hyper efficace à la clé… un premier album puissant, plein de hargne et aux compos inspirées… à noter que Ken Chambers (Moving Targets) et Corey Loog Brennan (Lemonheads) ont fait partie du line-up de Bullet Lavolta… c’est pas les premiers mecs venus quoi ! pour tester (vas-y ça vaut le coup), c’est par ici :<br><br><iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/TKkmzQcNITQ?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br><b>THE SNEETCHES – lights out with the sneetches </b><br>Encore un CD qui a échappé au tri sélectif, normal, ça rentre encore comme dans du beurre… chopé pour pas cher dans une cool boutique qui se trouvait rue de la clé, avec un sous-sol puant l’humidité et tout (d’ailleurs c’est là qu’il y avait les skeuds les plus cheap), une échoppe où j’ai craqué moult biftons, et découvert des tas de groupes. Les Sneetches (de San Francisco, il me semble), un trio qui officiait dans la pop lumineuse, celle qui prend ses racines dans les compos les plus classieuses des Turtles, Easybeats et autres Kinks, avec la dose parfaite de DB’s, Flamin’ Groovies, Shoes… des arrangements précis, des guitares qui claquent et surtout un sens de la compo fabuleux ! séduit à la première écoute… J’ai jamais trouvé un autre skeud de ce groupe, sinon je l’aurais pris, pas de problème. Mes sessions de chasse au CD d’occase, ça s’amenuise maintenant. Un échantillon ici :<br><br><iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/2YZNIhzN5r4?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br><b>CODE ORANGE – I am king</b><br>Coup de coeur immédiat, sur un groupe dont j’avais seulement croisé le nom ici et là. Evoqué lors d’une session Electric Ballroom, au sujet de leur changement de nom (ils ont viré le « Kids » à la fin de Code Orange… pourtant ils sont pas bien vieux)… donc, jamais écouté Code Orange. Jusqu’à un enchaînement de circonstances et autres faisceaux d’indices. Je traîne sur la chaîne YT de No Sleep, et je vois une session acoustique de Adventures (en fait juste Reba Meyers + la meuf au clavier), touché ! Je file voir quelques vidéos de Adventures, dans le trip indie 90’s, bam ! j’apprends ensuite que c’est la même clique qui officie sous ce nom (- la meuf au clavier) évoqué plus haut, d’abord Code Orange Kids, puis Code Orange. Visionnage de vidéos et torgnole en commençant avec le titre « dreams in inertia », whoa, du HC coupé au sludge, avec des passages noisy… tu parles d’un mélange… franchement ça me tue, je trouve ça super audacieux… après je vais être honnête j‘ai bloqué sur cet album une dizaine de jours, c’est déjà pas mal, mais je vais pas non plus écouter Code Orange H 24… de toute façon avec le net (j’en discutais il y a peu avec Frank Slow Death) difficile de rester coincé sur un groupe, vu que ça pousse toujours derrière… d’ailleurs ce skeud, je l’a pas acheté, je l’ai pas téléchargé, je l’ai juste écouté via leur page bandcamp… le but, c’est d’éprouver des sensations, même si c’est pour une courte période… donc, cet album m’a mis à genoux une grosse semaine, et c’est ça qui est cool. Style ce que j’avais envie d’écouter, pile le bon timing et tout… donc carrément à sa place dans un top mensuel… j’ai même visionné quelques concerts via YT, bien intenses, public hyperactif, comme le groupe en fait… et la meuf Reba a un putain de charisme, avec sa tignasse rousse qui virevolte dans tous les sens… coolos !<br><br><b>PIERRE OUIN</b><br>Comme pour Patrick Mc Nee il y a peu, une triste nouvelle qui se retrouve dans un top mensuel… zarbi mais bon. Pierre Ouin, il mérite qu’on en parle un peu… en ce qui me concerne, un des dessinateurs qui m’a carrément donné envie de persévérer dans le graphisme, sachant que j’étais pas taillé pour faire des choses à la Jack Kirby ou Frank Frazetta… pas capable de taper dans le réalisme, mais également une part de choix perso… la réalité me soûle, donc pas envie non plus de la représenter sur une feuille de papier… Pierre Ouin, ça me ramène direct à l’époque où j’achetais Metal Hurlant, ainsi que les autres mags des Humanos, Rigolo et Metal Aventures, vers 83/84. Le mec faisait partie des gribouilleurs qui m’ont mis à genoux, dès la première vision de leurs planches. Lui, Michel Pirus, Max, Charlie Schlingo… graphismes sauvages, histoires débridées, ça fonçait tout droit, pas de prisonniers, rien à foutre de l’académisme… et ça m’a scotché d’entrée, à l’inverse d’autres auteurs édités dans ces mêmes pages, des mecs comme Schuiten et Peteers par exemple (jamais su qui écrivait et qui dessinait, ça m’intéressait pas)… ces mags m’ont aussi ouvert les yeux sur Gary Panter, Charles Burns, Richard Corben, Serge Clerc, Yves Chaland… et j’en passe des tonnes. Je dois avouer que Max a été le plus influent sur moi, surtout dans l’esprit. Genre tu dessines pas comme un néo-classique ? Rien à foutre, fais ton truc, comme tu le sens… je le confesse, au niveau dessin pur, Pirus a été la plus grosse claque, ce trip Calvo Disneyesque !!! mais j’arrête de digresser… retour à Ouin. Découvert dans Metal, via des pages de Bloodi, son anti-héros junkie, ses aventures picaresques dans Paname, à la recherche de dope… des dessins géniaux, un genre de ligne claire dynamitée de l’intérieur, avec une foule de détails, qui remplissent l’espace… « Bloodi trouve pas l’égout », « Bloodi et les rongeurs », ainsi que les trucs élaborés avec son acolyte Max, « suck Korea suck » et « fuck, fly & bomb »… des albums bidonnants, wild, ultra cool quoi… un pan de l’histoire de la BD française, à l’époque où les Humanos éditaient des tonnes de choses magiques, avec un esprit irrévérencieux et moderne… j’avoue j’avais lâché le morceau fin des années 80, quand le mec dessinait pour le Psikopat. Ce mag de la bande à Carali, ça ne m’a jamais trop parlé, Fluide Glacial tout ça, pas mon trip du tout. Mais bon, Pierre Ouin, pour moi ça voudra toujours dire quelque chose. So long mec.<br><br><b>FAST N’ LOUD (GAS MONKEY GARAGE) </b><br>le prototype du show Discovery Channel que je peux mater à la file, par packs de 6... on y suit les aventures de deux mecs qui gèrent le Gas Monkey Garage à Dallas, Texas. Leur truc c’est de racheter (à bas prix si possible) des vieilles caisses, de les remettre à neuf et de les revendre en faisant un max de profit (si possible, toujours)… le boss (Richard Rawlings) pousse au cul son crew, bicause il a de gros frais, pas seulement les pièces détachées qui peuvent être rares à choper et la main d’œuvre, mais il doit aussi faire tourner son bar/resto/salle de concerts en plus de son garage ! Ouais la libre entreprise aux USA, c’est pas du flan… donc le gars s’énerve et pousse des gueulantes sur ses employés (dont le mécano en chef Aaron Kaufman à la barbe ZZ Top-esque… hey, on est au Tejas ou pas ?) les bagnoles remises à neuf doivent se vendre avec moult bénefs lors des ventes aux enchères… bonne ambiance dans cette série doc, les types aiment bien déconner, faire des burn-out sur le parking, boire des canettes, démolir des trucs (exactement comme les gonzes de American Chopper, d’ailleurs la clique Gas Monkey parodie le clan Teutul dans un épisode bidonnant) et c’est aussi extrêmement bien torché, comme d’hab sur Discovery. Et niveau caisses ben on est du bon côté de l’océan, les mecs vont pas se faire chier à remettre en état des foutues 4L ou des 504 break (ah le temps des cool chignoles françaises, les Aronde P 60 et Rush, Ariane, Versailles, Chambord, Beaulieu…), chez Gas Monkey on sue plutôt sur des Super Bee, des Dart, des Riviera et des Mustang, parfois dégotées dans des granges, toutes déglinguées, en mode abri pour famille de ratons-laveurs !… bref des bagnoles à l’esthétique hyper catchy, aux moulins surgonflés et rugissants, à une époque où on se tapait pas mal des coefficients aérodynamiques et du prix du gallon d’essence… j’adore. Quoi la Yaris hybride ? mais de quoi tu parles ??!</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-48276570890955717692015-11-05T01:54:00.000-08:002015-11-05T01:54:37.622-08:00POP PUNK ACIDULEE, GUERRE FROIDE, BARONS DE LA DROGUE, COMEDIE METAL, DES FILLES A VELO<b>TOP OCTOBRE 2015</b><br><br><img src="http://www.crustcaviar.com/images/crust-caviar-mickson-octobre-2015-bike.jpg"><br><br><div align="justify"><b>AGENT CARTER</b><br>Bon l’univers Marvel, attention maintenant, c’est un peu le rollercoaster, à une époque je gobais tout genre requin baleine qui engouffre son plancton, la gueule béante… mais des fois ça nourrit plus trop ! Les Gardiens, j’ai adoré, Age Of Ultron, vachement moins… bon après je suis pas très critique en matière de gros glaviots hollywoodiens comme ça… jamais l’impression de m’être fait complètement plumer quoi. That’s entertainement. Donc Marvel ça déborde niveau séries également, je suis pas mal client question Agents Of SHIELD (la saison 3 déboule), du coup je plonge dans Agent Carter et ça le fait carrément ! Peg Carter, c’est la copine du Captain America (revoir les films SVP), on la retrouve donc en 1946 -après le crash de son boyfriend- au sein du SSR (Secret Scientific Reserve, agence gouvernementale alliée qui ne manque pas de taf en cet après-guerre immédiat), attention aux Nazis vindicatifs qui repointent leurs groins, et aux Russkofs dans le délire world domination ! La petite mère est un peu cantonnée dans le rôle de secrétaire/pourvoyeuse de café fumant, hé oui, elle est la seule nana dans la team… pourtant elle peut kicker le cul des matous sans forcer, dans ses petits tailleurs ajustés et chaussures à talons, on le verra plus tard… elle végète un peu dans les locaux de l’agence, jusqu’au jour où Howard Stark (le père de Tony), capitaine d‘industrie/inventeur/pilote/playboy international (ouais carrément Howard Hugues quoi) est accusé d’avoir vendu de la technologie militaire de choc à l’ennemi… le gars dit que non et demande de l’aide à Peg, histoire de se faire innocenter. La meuf accepte et trouve de l’aide en la personne de Edwin Jarvis, le majordome du mec Stark. C’est parti pour des aventures action/espionnage dans un chouette décor NYC 1946, belles bagnoles genre Packard, mecs en costards et chapeaux, filles super smart lookées à la Jane Russel, Veronica Lake et autres Carole Lombard… un genre Alias version années 40 avec une touche savants fous, espions flippants, armes expérimentales, gunfights et bastons… L.A. Confidential / Indiana Jones ! de très belles images, accompagnées de chansons cool, genre « the way you look tonight »… très bon cast, on y retrouve entre autres Chad Michael Murray, James D’Arcy, Dominic Cooper et la délicieuse Hayley Atwell… sans oublier Lyndsy Fonseca (sa pote Angie), pas moins délicieuse… et Stan Lee ? ben oui il est là aussi, pas de souci… bref un show bien agité, toujours fun, carrément au dessus de ce que j’attendais ! Cool.<br><br><b>SICARIO</b><br>Un truc que je vais voir quasi au pif, et qui à l’arrivée m’a bien botté ! réalisé par le mec qui a fait « prisoners » (pas vu, vachement avancé du coup…) ce film raconte l’histoire d’une agent du FBI (Emily Blunt, parfaite) qui va se mettre à bosser en collaboration avec une autre agence gouvernementale aux méthodes super expéditives, dont l’objectif est d’abattre un baron de la drogue qui sévit entre le Texas et le Mexique. La drogue c’est pas bien, le trafic non plus et les méthodes pour combattre tout c’est pas terrible non plus. La meuf se retrouve dans un gang d’agents troubles, menés par un gars louche (James Brolin) et son « conseiller » (Benicio Del Toro) l’est encore plus… elle en veut, motivée et tout, mais on lui file pas d’infos, on répond pas à ses questions, et réalise que les méthodes de travail de ses nouveaux collègues sont brutales. Du coup elle se remet à cloper, ne bouffe plus, porte les mêmes nippes tout le temps, plus de vie perso… cool film, sous tension tout du long, les scènes d’assaut / opérations coup de poing te sautent à la gueule (les scènes de pur chaos urbain à Juarez), c’est réaliste, avec insertion d’images vision nocturne à la clé, c’est nerveux as fuck… idem pour les scènes un peu plus apaisées (genre la scène dans le bar, celles qui mettent scène le flic Mexicain en famille), ça débande pas, on est toujours maintenus en attente d’une foirade… scénar au taquet + images ciselées avec soin, galerie de personnages ultra-dark, du bon polar qui latte, super film !<br><br><b>PAPER GIRLS</b><br>Je flashe sur couve du 1er volume de ce comic, lors d’un de mes passages chez les cool guys d’Astro City… une illu sèche et nerveuse, en noir et blanc sur fond jaune, titre en rose, ça pète… je plonge, c’est pas reuch et Damien me dit que c’est son coup de cœur de la semaine ! Go ! Le truc se passe en 1988 (comme Donnie Darko), on y suit une bande d’adolescentes qui se lèvent à 4 h du mat’ pour distribuer des journaux dans une banlieue des USA. L’une d’entre elles se fait chahuter par des kids déguisés, c’est Halloween (comme dans Donnie Darko) et la solidarité des paper girls marche à fond, les morveux lâchent l’affaire… celles qui ne se connaissaient pas encore se lient d’amitié… le boulot peut reprendre, mais des créatures étranges traînent dans le voisinage, et elles n’ont rien à voir avec des kids déguisés… putain cette cool ambiance, à la teen qui tourne rapidos au vinaigre (comme Donnie Darko), rien de bourrin, tout est dans la suggestion, on découvre les bizarreries en même temps que l’équipe de meufs, sans un poil d’explication dans ce premier volume… en fait entre Donnie Darko et The Twilight Zone… ou The Outer Limits (un poil plus flippant)… avec un poil de Stand By Me… Goonies… Monster Squad… OK j’arrête là ! on est bien scotchés par la dernière planche, qui donne envie de continuer le trip… du bon !<br><br><b>TOPSY TURVY’S – I expect nothing & I’m still let down</b><br>Nouveau skeud pour un de mes groupes français préférés… mazel-tov ! Super bien emballé, un CD dans un packaging format 7 pouces, pochette noir et blanc (à colorier toi-même, c’est indiqué), avec des pop-ups dedans, les crédits sont planqués sous un pliage… thumbs up ! J’adore ! Tout ça c’est du bonus… question zique un coup au but encore une fois de la part des Topsy : si comme moi t’es branché pop-punk acidulée, vas-y fonce… des réfs en vrac, Midtown du 1er LP, New Found Glory, Veara… ultra punchy, ultra catchy, c’est la grande classe encore une fois ! Evidemment quand la voix de Noémie s’impose dans les morceaux, pour mézigue c’est le grand frisson, le délire bassiste chanteuse à la voix chatoyante, genre Heather des Teen Idols ! Bref des gens au goût sûr et qui se secouent la couenne, ils sont allés user les pneus de leur van du côté de la Pologne et de la Slovénie il y a peu, un petit video-report est visible sur YT pour les curieux… une version vinyle de ce skeud devrait être dispo plus tard, si j’ai tout compris… je valide à fond !!! un échantillon par ici :<br><br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/Dg_7sOYa424?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br><b>LA CHAINE YT DE JARED DINES</b><br>« le temps perdu qu’on ne rattrape plus » (Trust)… ouargh que de temps perdu sur youtube en ce qui me concerne… enfin pas vraiment perdu… j’ai plongé sur le channel YT de Jared Dines et j’en suis devenu accro… via les recommandations du site video, à mon avis parce que j’étais allé voir des trucs d’un autre youtuber bien cool, Jarrod Alonge, le type aux parodies (respectueuses) de combos pop-punk/metalcore… qui sort un skeud début décembre… on en reparlera peut-être… bref son pote Jared Dines est lui plus dans le délire metal (même si un de ses skeuds préférés est le « so long Astoria » des Ataris)… le mec est chanteur dans Dissimulator (https://dissimulator.bandcamp.com), groupe metalcore surpuissant, il est aussi un guitariste au niveau stratosphérique, et batteur, ingé-son… et comédien bidonnant. Au menu de sa chaîne : des tas de videos de test de matos, des « 10 crazy metal facts », des « ask Jared », des tutos sur postures de scène quand on est chanteur, des segments sur la drague quand on est musicien, sur la drague quand on est groupie, des battles avec ses potes youtube… c’est touffu, bien fait, bluffant et toujours drôle… le mec sort aussi des t-shirts coolos… le rêve américain niveau auto-entreprise quoi…
une cool video par ici :<br><br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/yhjtqinjl1s?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-12603239501006418632015-10-10T02:49:00.000-07:002015-10-10T03:04:56.442-07:00TOP SEPTEMBREUn peu dans le trip rentrée littéraire, mais vraiment un peu. Genre 1/5 ème.<br><br><img src="http://www.crustcaviaR.com/images/mickson-lille-lannisters-game-of-thrones-graffiti-59-nord.jpg"><br><br><div style:"text-align:justify"><b>LOLITA PILLE – Hell</b><br>Septembre : ma crise bouquins à 1 euro (ça peut monter à 1.50) dans les bacs d’Oxfam. Dingue on y trouve des choses bien cool, pour peu qu’on ait des goûts larges… j’ai tapé dans du Paul Auster, du Oscar Wilde, du Roald Dahl, du Joseph Conrad, j’ai relu avec plaisir le « sa majesté des mouches » de William Golding, un chef d’œuvre… à ce prix là on peut tenter des expériences, style le bouquin (je connaissais que celui là) de Lolita Pille, « hell ». Gros buzz à sa sortie, genre il y a 12 ou 13 ans… dans mon souvenir, un book éreinté par la presse et tout, vu le sujet, et la personnalité de la meuf (au fond on s’en fout)… un portrait de la jeunesse dorée à Paname, vaguement un « less than zero » version XVI ème. Je répète, un bouquin sur les riches à un prix pour les pauvres, je tente ! et c’est pas mal… on y suit les pérégrinations d’ados aux parents bourrés de gnouf (ils sont pas médecins ou architectes, ces losers, mais plutôt dans le commerce de l’armement ou les agences de supermodels…), qui passent leur vie en boîte, dans des restos trendy et autres endroits que je fréquenterai jamais. Je suis allé au Paris-Paris une fois, mais c’était pour un showcase de Metal Urbain, et en plus dans l’après midi, ça compte pas… un univers qui me restera inconnu quoi. Déjà avoir mis les pattes une fois à l’International à Paname, ça m’a paru ultra-smart par rapports aux endroits dans lesquels je traînais à l’époque… retour à ce bouquin : ces jeunes craquent des tonnes de blé, et se font bien chier, comme tout le monde… ça démarre style on évolue sur une planète que vous les plébéiens vous ne foulerez jamais, on est les rois du monde, puis la narratrice (Hell) tombe amoureuse, ça plane pour elle, puis déconfiture, picole, dope, comme chez les moins riches, et enfin atterrissage douloureux. Jusqu’à un dénouement qu’on voir arriver à 200 km ! Mais bon, ça m’a bien plu. Pas bouleversant mais efficace, et même lumineux par moments ! De bonnes réflexions sur la vie, style t’es bourré de pognon mais t’en baves comme tout le monde… ton pire ennemi, c’est toi… rien de très inédit, mais peu importe. Question littérature française, je vais généralement pas au delà de Jules Verne, Dumas père… quelques exceptions dans les contemporains, comme Laurent Chalumeau, Houellebecq il y a longtemps... j’ai essayé un Daeninckx (sorry pour l’orthographe incertaine) il y a peu, j’ai pas insisté… le bouquin de la mère Pille, ça reste de l’exception (culturelle). UN euro, quoi !!! Et vachement plus cool que le bouquin de Kim Gordon « girl in a band » globalement chiant à 97% !<br><br><b>ELEMENTALS – I’m not here, I’m not real</b><br>Les années nonante, le retour… heu, ça fait déjà un bout! Le nombre de groupes estampillés shoegaze dans New Noise, le dernier LP en date de Title Fight avec cette prod qui sonne My Bloody Valentine, la patate de groupes à chansonnettes qui renvoient direct à la twee-pop 1986… tous ces putains de bons groupes ramassés sur le net en traînant un peu au pif, comme Wonderflu, Milk Teeth, ou encore Social Square… bonnes vibrations ! Evidemment j’aime mieux des combos avec des influences que j’apprécie, ça m’incite à dépoussiérer des vieux trucs ! donc Elementals déboulent de Toronto (putain encore un groupe de Toronto !!! encore la magie Scott Pilgrim ?? ou ce groupe (années 90 aussi) qui chantait wanna go, wanna go, to Ontario !)… faut pas chercher à compliquer les choses : si t’aimes Nirvana (et Olivelawn, une réf pour faire style ha ha) ça va te plaire. Tous les tricks du groupe de Seattle/Aberdeen sont là, plutôt période post « bleach », le chant, le traitement des guitares, les structures des morceaux, et comment les couplets se rattachent aux refrains, l’aspect pop crade… efficacité maximale, ce bidule inattendu a tourné à donf pendant quelques semaines chez moi…<br><br><b>ON YOUR MARKS – movements in loss EP</b><br>Une bande de kids qui viennent de Ashbury Park, New Jersey (comme Springsteen non?)… la comparaison s’arrête là, eux sont dans le délire emotitude extrême, avec ce EP trois titres qui tue ! Concept EP, sur le thème de la rupture amoureuse, d’abord la claque, ensuite l’acceptation, puis le nouveau départ… ouah comment cette thématique me harponne ! La zique est juste parfaite, ton mélanco, guitares expressives et chant chargé de messages… tout ce bonheur dispo en name your price sur leur bandcamp… les gars font partie du Mayflower Collective, comme leurs potes de Cross Town Train, un autre groupe hyper cool ! J’ai bloqué en voyant une video de On Your Marks (d’un titre sorti de leur LP de 2013, « ripped out by the roots » – carrément excellent…) je disais « une bande de kids »… la preuve par là :<br><br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/WmmfDat7w9g?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br><b>GAME OF THRONES</b><br>Après avoir traîné de la patte pendant des siècles (un peu l’équation à la con tout le monde aime = caca, ou tout au moins suspect !!!) et après avoir subi un harcèlement de la part de ma propre fille (fan hardcore de cette série) j’ai fini par plonger. Et je l’ai pas regretté. Comme une buse, je rapprochais ça de l’univers des foutus Hobbits (là j’ai vraiment essayé, pas moyen) alors que dans le délire c’est plus Rome, sexe et violence, et trahisons, et sévices, et manipulations, luttes acharnées pour le pouvoir… le merdier Tolkien, c’est carrément les Schtroumpfs à la plage en comparaison ! je vais faire court, bicause sur le net c’est déjà gavé d’infos, de blogs et autres fraternités de la Night’s Watch. Tentez le coup. Ne pas aimer cette série, c’est ne pas aimer les histoires scotchantes, les personnages subtils, les intrigues bien ficelées, les rebondissements qui coupent le souffle. Pas plus, pas moins. Voilà. Alors que je tape ces lignes il me reste 3 épisodes de la S 5 à mater. Ensuite faudra attendre le printemps 2016. <br>Winter is coming. Et après l’hiver, c’est le printemps.<br><br><b>PVRIS – white noise</b><br>1er album de ce groupe venu du Massachusetts, super agréable, dans un bon rip-off de Paramore (purée le groupe à Hayley W aura quand même bien joué un rôle de pionnier dans le trip pop-punk FM), la comparaison est flag’ par moments, les capacités vocales de Lynn Gunn, les structures de morceaux, ceux à base de refrains qui s’envolent, tout ça… un peu plus de tricks boîtes à rythmes/electronica/synthés old-school (lire 80)… de la bonne came, profilée à mort… un album écouté quelques jours d’affilée, de façon intensive, via youtube… même pas éprouvé le besoin de le choper en téléchargement… c’est marrant de plus en plus je me mets à bloquer sur des groupes de façon éphémère, c’est pas plus mal d’ailleurs. Sinon j’ai pu voir que PVRIS seront en Europe d’ici quelques semaines, une bonne plâtrée de dates, Allemagne, pays Scandinaves, Bruxelles (sold out depuis des semaines !) et j’en passe… bref si j’ai bien vu, cette tournée évite soigneusement la Frankreich ! PVRIS, même pas à Paris, ha ha ! Ce groupe c’est pas mal gros déjà non ? ils étaient sur le Warped Tour, + pas mal de couves niveau presse spécialisée… ah quel crétin ! C’est des trucs anglo-saxons… non sérieux, on a ce qu’on mérite. De la heavy rotation Christine & The Queen (rien ne m’avait autant scié les nerfs que cette chose, et depuis des années), la reformation de Téléphone (perso j’ai rien demandé…), JC Satàn plébiscités… bah aucune importance. Allez un petit link histoire de s’aérer :<br><br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/i1y0y1EDcHM?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-6252918378368700312015-07-01T01:51:00.000-07:002015-07-16T02:07:05.024-07:00SUMMER OF METAL ?<img src="http://www.crustcaviar.com/images/amanda-lars.jpg">
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<div align="justify"><b>TOP JUIN.</b>
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<b>CRUCIFIED BARBARA – till death do us party</b><br>
Un skeud que j’avais reçu dans un paquet promo, et qui revient à la vie, vu que je suis en plein marécage heavy en ce moment (Summer Of Metal, c’est écrit ci-dessus, point d’interrogation ou pas…) cool disque des Scandinaves, à la fois vissé dans un certain classicisme (JUDAS PRIEST / GIRLSCHOOL) et dans la modernité (cette prod’ solide, à la fois clean, ample et puissante)… les morceaux sont coolos, pas de surprise, on est bien dans un genre défini et parfaitement respecté au niveau cahier des charges. La chanteuse a une putain de voix, dont elle fait ce qu’elle veut, d’ailleurs ça envoie également des harmonies vocales bien carrées par moments… bien évidemment les morceaux qui me font le plus tripper sont un peu mid-tempo ou carrément dans le registre balades (argh les balades heavy, ça me tue) bref c’est loin d’être un skeud qui va changer ta life mais c’est du boulot fait avec soin et conviction. Des fois il en faut pas plus…
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<b>METALLICA – all nightmare long</b><br>
Un titre issu d’un skeud que j’ai relativement peu écouté (“death magnetic”) mais de haute volée, je m’y remets et ça le fait carrément. Sombre, tordu, morceaux à tiroirs, structures éclatées… bonnard. Mieux que leur projet tout bidon avec Lou Reed ! ha ha ha
Un clip par ici, non seulement le titre est over-cool mais le clip est une tuerie. Et aux images ô combien adaptées à l’ambiance générale… extra.
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<iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/EFqjDXy9s5A?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>MANIC STREET PREACHERS – gold against the soul</b><br>
Un drôle de groupe, une drôle de tambouille alt-pop mélancolique coupée au hard-rock, des gros hits (« if you tolerate this », « Kevin Carter »…), des destructions de matos sur scène, la disparition énigmatique d’un de ses membres en 95… et aussi du talent, à n’en point douter, un sens de la mélodie hyper-catchy (« from despair to where » = refrain générateur de frissons !), des arrangements subtils, de la prod’ ciselée, des textes en mode conscience sociale bien éveillée, bref ce second album des Gallois me fait toujours un gros effet. Même après l’avoir remisé au fond d’une pile pendant genre plus de cinq ans… et ça me donne envie de tester leurs disques que je connais pas, je me suis arrêté à « everything must go ». Et la dernière fois que je les ai entendus c’était une cover de Rihanna !
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<iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/zF3VRIcYkAU?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>SOUL ASYLUM – hang time</b><br>
On lâche un peu la mamelle hard-rock (c’est toujours écrit ci-dessus)… les guys de Twin Cities j’aime pas trop leurs débuts période « Karl sold the truck » et je les ai abandonnés après leur méga-hit « grave dancers union », à l’époque ou « runaway train » c’était heavy rotation et que Dave Pirner sortait avec Winona Ryder (salopard !) en plus d’être le champion intercontinental catégorie jeans déchiquetés. Leur période du milieu, wow… kif les Replacements, Soul Asylum ont fini par bidouiller une tambouille avec des restes de leur période punk-rock, en y ajoutant des bouts de trucs plus r’n’r, des épices Led Zep ainsi que des cubes de racines folk/americana. Le résultat ; un genre de gumbo des plus délicieux, ça reste spicy mais bien plus subtil, à base de structures bien torchées.
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<b>RIP PATRICK MACNEE</b><br>
Un énormoïde big up à cet acteur qui vient de nous quitter, la coolitude britannique incarnée et tête d’affiche d’une série archi-culte (le mec est resté et a épuisé 5 sidekicks féminins), The Avengers… un truc que je peux encore me taper régulièrement, toutes saisons confondues (là je découvre celle de 62/63 avec Cathy Gale/Honor Blackman), du mystère, de la bizarrerie, des savants fous, du flegme, de la classe et des bastons… so long, John.<br>
MR STEED, YOU’RE NEEDED !<br>
Pour ne pas rester sur une note tristos, voici une chanson bien dans le trip de cette série unique :
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</div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-8888739493908617842015-06-04T01:23:00.000-07:002015-06-04T01:23:07.754-07:00SUCH GOLD @ Electric Ballroom (2015-05-19)<img src="http://www.crustcaviar.com/images/electric-ballroom-such-gold-crust-caviar.jpg"><br><img src="http://www.crustcaviar.com/images/electric-ballroom-such-gold-crust-caviar-acoustic-live.jpg"><br><br>
We got this radio show since a forever now but rarely talk about it here, I don't know why, but since we did one with <b><a href="https://www.facebook.com/suchgold/">SUCH GOLD</a></b> maybe we should spread the word a little bit ... So the band from Rochester NY passed by the show to talk about "<b><a href="http://thenewsidewalk.com/">The New Sidewalk</a></b>", their new full length. What's the secret of their mix between modern hardcore, melodic hardcore, math rock and class-rock (even) ? Why an artwork so psychedelic ? Why Ben don't like that when you park next to him ? They'll answer all of these questions. We'll talk also about touring, the Groezrock, I'll push them to say nasty shit about their tour-friends TR♥NSIT ... They'll play two acoustic songs : "Nauseating" and "Don't Park Next To Me". And because we rarely talk metalcore in the show, I'll take advantage of the fact that Matt was in SHAI HULUD to play some of that. Jon gets intrigued about MUTINY ON THE BOUNTY and we finish this off with a bang with one of my favorite song from their album ....
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T’en vas pas, ça fait pas mal. Au contraire.
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<b>SKID ROW – I remember you</b><br>
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<b>AEROSMITH – cryin’</b><br>
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<b>MÖTLEY CRÜE – on with the show</b><br>
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<b>FASTER PUSSYCAT – please dear</b><br>
<iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/YZsR3qPQwdw?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>BON JOVI – living on a prayer</b><br>
<iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/lDK9QqIzhwk?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-73205282164434943412015-05-18T07:48:00.003-07:002015-05-18T07:49:26.828-07:00#ThePlotToBlowUpRealHardcore<img src="http://www.crustcaviar.com/images/facebook-athos-santiago-the-plot-to-destroy-real-hardcore.jpg">
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And that's why they're the best, esé ! #ThePlotToBlowUpRealHardcore #Groezrock2015<br><br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-79096744298213508722015-05-07T05:53:00.001-07:002015-05-07T05:54:18.785-07:00TOP APRIL O’ NEIL: back in the garage5 plus ou moins tubes 60’s-punk.
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<b>WE THE PEOPLE – You Burn Me Up And Down</b><br>
<iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/NWMmV3QVhtc?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>THE FABS – That’s The Bag I’m In</b><br>
<iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/Wm0EsIBMZM8?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>KENNY AND THE KASUALS – Come On Kid</b><br>
<iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/i-rtc8Mv2Ks?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>THE ELECTRAS – Action Woman</b><br>
<iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/YZS4PwE4sPU?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>THE BOLD – Gonna Get Some</b><br>
<iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/0nop41CWkqM?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<br><br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-78731931159755028232015-05-07T05:39:00.001-07:002015-05-07T05:39:22.738-07:00"Is This Guy Dead ?" GROEZROCK 2015<iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/Stw1hjEdbiU?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-33596792520443661062015-04-04T01:26:00.000-07:002015-04-04T01:26:07.176-07:0030 SECONDS TO MARCH<img src="http://www.crustcaviar.com/images/mick-mars.jpg"><br><br>
<b>Top mars.</b>
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<div align="justify"><b>YOUNG HUNGER - demo</b><br>
Un gars des Swellers (Ryan Collins) qui fait un side project, j’essaie bien sûr… deux titres qui filent comme des balles dum-dum, grosse énergie, punk-rock mélo de haute volée… marrant les mecs définissent leur zique comme suit : « straight forward, catchy songs that could fit in perfectly on a Punk-O-Rama comp » c’est pas faux… bon on peut ajouter leur tambouille des ingrédients issus de combos pop-punk plus récents, NFG, The Wonder Years, Sister Kisser, Banner Pilot, en fait mets les noms que tu veux, y’en a des caisses… il y a une semaine les mecs ouvraient pour Pennywise (pas mon groupe préféré…) mais bon puisqu’on évoquait les compiles Punk-O-Rama… foncez choper ces deux titres, c’est là : http://weareyounghunger.bandcamp.com/ attention, c’est encore chaud… 320 likes sur leur page FB, ça devrait prochainement grimper, garanti ! Ou mon nom n’est plus Nathan Arizona !!! En fait mon nom c’est carrément pas Nathan Arizona. #blaguepourraveraisingarizona
<br><br><iframe style="border: 0; width: 100%; height: 120px;" src="https://bandcamp.com/EmbeddedPlayer/album=2125135312/size=large/bgcol=ffffff/linkcol=0687f5/tracklist=false/artwork=small/transparent=true/" seamless><a href="http://weareyounghunger.bandcamp.com/album/demo">DEMO by YOUNG HUNGER</a></iframe><br><br>
<b>BLUE STREAK</b><br>
Le dimanche, c’est cuit pour moi, « tout est silencieux et gris » comme dans la cool chanson de Morrissey. Quoi que je fasse, j’ai l’impression de perdre mon temps, donc c’est « un jour parfait » (comme dans la cool chanson de JJ Burnel) pour glander. Tant qu’il y a du pop-corn et des Prince ® d’abord dans le placard puis dans mon estomac ensuite, ça roule… les heures défilent et c’est tout. Priorités aux activités basiques, bouquiner des trucs pas trop prenants, jouer à la console, et mater des films pas trop prenants non plus ! Genre je m’affale devant ce film starring le buddy Martin Lawrence ! BAD BOYZ - BAD BOYZ - WHATCHA GONNA DO ! le mec y joue Miles, un casseur de coffres qui s’empare d’un diam mahousse mais il se fait doubler par un gonze de son équipe (l’acteur qui joue Zed dans Pulp Fiction) le genre pas partageur quoi. Après quelques cascades et roulés-boulés, le mec Miles se retrouve dans un bâtiment en construction, les flics au train, et planque le caillou dans une conduite de ventilation avant de se faire serrer. Prochaine étape: le gnouf ! A sa sortie de taule, il retourne là où il a planqué son butin. Surprise : le bâtiment en construction était un futur commissariat, maintenant terminé, et bourré de flics bien sûr. Une plaque bidon et un changement de look plus tard il se pointe là dans la peau d’un inspecteur pour récupe son diam. Evidemment ça va se compliquer. Un film qui roule tout seul, pas de quoi se défoncer l’intellect mais c’est pas le but, ça bouge bien, les gags sont au poil (niveau light quand même… style la séquence où il se pointe en livreur de pizza… bon le gars a interprété Big Mama on est pas chez Bergman…) OK Martin Lawrence c’est un bon cabotin, mais le scénar appelle ça, genre on a la blague obligatoire et usée jusqu’au trognon sur le flic bouffeur de donuts… le rookie qui fait des mistakes… et le cabotinage, c’est relatif, après avoir vu trois ou quatre films de Hong Kong (genre I Love Maria ou un Mad Mission) on est guéri. Bref bien plaisant, mouvementé et drôle (enfin drôle pour moi), un cast coolos (le gars William Forsythe, toujours content de le voir) une bonne comédie du dimanche ni plus ni moins… j’ai beau être en mode dégradé le jour du Seigneur mais j’ai encore des exigences. Pas encore prêt à me taper une merde avec un triste pignouf comme Dubosc, le mec le moins drôle de l’univers : un constat irréfutable, après tests cliniques, analyses aux labos du MIT, sessions en soufflerie et tout ! Le jour où j’échoue là devant, je serai bon pour croquer ma capsule de cyanure. Martin Lawrence, un de mes remparts contre les comédies franchouilles, dont les seules bandes annonces me filent la gerbe. Blue Streak ça vole pas haut mais les missions en rase-mottes ça me connaît.
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<b>LES COOKIES HOMEMADE DE LISA</b><br>
Sa recette, je sais pas d’où elle la sort (des méandres du www sans doute) n’empêche ses cookies défoncent ! Extérieur croustillant, intérieur moelleux et des pépites de chocolat en rangs serrés… perso je déguste ça avec un grand verre de lait, façon kid qui rentre du bahut.
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<b>MONSTER MAGNET – s/t</b><br>
Dernier week-end de mars : l’amigo <b><a href="http://gwardeath.fr/">Gwardeath</a></b> se pointe à Sunnydale, en transit entre Portland et Bruxelles. Toujours cool de chiller avec ce globe-trotter impénitent doublé d’un raconteur d’histoires croustillantes ! On blablate, on bouffe des gratins de pâtes aux légumes et on boit des cans de Skol (pas dégueu mais ne pas en abuser)… le 1er soir je claque comme d’hab’ de la pop-punk 2.0 et du David Brohet-core (ha ha) en fond musical mais comme je pense au confort de mon invité, je recadre rapidos la play-list, direction des territoires plus susceptibles de lui plaire ! De ce fait, on s’est retrouvés à écouter pendant deux jours des trucs issus de la décennie 90. On devise tranquilos en éclusant ce breuvage sorti des usines Tuborg (avec ce cool logo un peu métal/viking qui doit bien plaire à mon pote, ha ha ha), en bectant du pop-corn (salé), avec comme bande-son en vrac les Posies, Love Battery, Moving Targets, Midway Still, Pond, Quicksand, Handsome et j’en passe. Après son départ, je continue dans la même veine, vu que j’avais préparé une pile qu’on n’a pas pu terminer. Dans ce tas il y avait le 1er EP de Monster Magnet. Pour l’anecdote, le tout 1er CD que j’ai acheté (en 1990) ! Ce skeud ça a été une sacrée torgnole, et ça passe toujours pas mal ! Carrément le truc psyché/superheavy/stoner avant la trend quoi, en tout cas avant cette rondelle j’avais jamais entendu ça… that 70’s show revisité ! Des sons de guitare à te décoller le papier peint (je m’en fous j’en ai pas), des voix d’insectes cannibales, une ambiance sabbat drogué infernal, un combo déjà à fond dans cette mission spéciale : remettre en marche le golem Black Sabbath complètement freak-outé au jus du bong Grateful Dead… à l’époque quand on me demandait à quoi ça ressemblait Monster Magnet, je décrivais un bulldozer géant en train d’avancer dans un champ de gadoue bien grasse, c’est l’image que je m’en faisais… pour l’anecdote, j’ai vu ces gonzes sur scène l’année suivante dans un fest en Flandre, le truc en plein air (dans une cour d’école) où il y avait aussi The Walkabouts, Les Thugs, Ugly Papas et d’autres choses éliminées de ma mémoire depuis longtemps… par contre impossible d’oublier la prestation du bike gang de Dave Wyndorf : les mecs ont réussi à littéralement chambouler la météo. Cette journée était plutôt ensoleillée, puis Monster Magnet ont déboulé sur scène. Gros nuages noirs qui s’accumulent-o-nimbus, puis coups de tonnerre et pluie… flippant ! et tout ça s’est dissipé au dernier coup de cymbale envoyé par le groupe, retour du soleil et tout… fou non ? Quand je disais infernal… un extrait de ce fameux EP ici (play it loud !) :<br><br>
<iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/ZaNoFLjzMk8?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br><br>
<b>EMBROUILLES AU PYPOLAND + LA GUERRE DES OREILLES – Tramber</b><br>
Deux BD sorties d’un carton, et relues vite fait, toujours aussi bidonnantes. Achetées il y a une éternité, évidemment. Ca date de l’époque (on va dire 85 pour pas se casser le cul) où je me faisais une culture comics via des mags géniaux, Viper, Métal Hurlant, et surtout Rigolo (sous titré « le rire rock »)… des publications sorties des usines Les Humanoïdes Associés, pilotées par MM. Dionnet et Manœuvre (à l’époque le mec était cool, maintenant c’est juste papy rock)… c’est là dedans que j’ai découvert Pierre Ouin, Charlie Schlingo, Peter Pluut et surtout Max. Ce type m’a fait piger un message essentiel, à savoir « tu dessines pas de façon académique, caisse t’en as à foutre, dessine quand même » un principe que j’ai vite adopté… Tramber, c‘était le scénariste de Kebra le rat, dessiné par Jano. Suite à un schisme, le gars Tramber s’est mis à dessiner (de son mieux) de son côté, pour sortir ces tueries, qui mettent en scène William & Pypo, deux clébards qui vivotent « sur la zone » (comme dans la cool chanson de LSD), l’un con comme une boîte et l’autre pseudo intello, à base de petits trafics minables, de plans pourris, d’idées vaseuses qui tournent invariablement à la catastrophe et à la défaite… ils traînent avec Jean-Marc l’éléphant (bah oui c’est comme ça) dans leur quartier pourri, et partent des fois en vacances en Bretagne pour picoler avec El Butor, un marin bourré en permanence… humour déglingué et parfois absurde, des situations folles, et des histoires traitées en une page, voire deux ou trois maxi. Ca se lâchait bien à l’époque, il y avait un vent de folie et d’irrévérence dans la BD française, un esprit iconoclaste et tout, et ces pirates du pinceau squattaient des mags et des vrais albums qu’on trouvait facile partout ! Après peut-être que ça se lâche encore aujourd’hui, j’en sais rien, des BD j’en achète 3 par an. Le mec a remis ses persos en scène dans un album appelé « la grande souris noire » (une histoire d’idole légendaire qui fait office de Viagra) mais là c’était une histoire complète, et à mon avis le gars Tramber assurait plus dans le format gag d’une page. Il a sûrement fait d’autres trucs mais après j’ai lâché l’affaire ! Le suivant (« gromago ») je l’ai jamais ouvert… Bref on trouve encore ça dans les bouquineries / sur Amazon / Price Minister, et c’est du bon investissement à mon avis. Une prochaine fois je parlerai peut-être de « panzer panik » de Max et J-L Boquet, la meilleure BD française de tous les temps, sortie également dans cette fameuse collection « H - humour humanoïde » !<br><br>
<b>BONUS TRACK</b> : mon corres’ Bir (hi ya mec !) du <b><a href="http://wallabirzine.blog.free.fr/">Wallabirzine</a></b> me demande de faire tourner cette info… j’ai tourné le dos aux réseaux sociaux, donc voilà, je relaie cet évènement à l’arrache. Juste en dessous. Merci.<br><br>
<a href="http://www.bolegason.org/index.php?d=07-05-2015" target=_"blank"><img src="http://www.crustcaviar.com/images/before-xtrem-fest.jpg"></a>
</div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-41410009638490293992015-03-25T09:58:00.000-07:002015-03-25T09:58:11.856-07:00MAC & CHEESE #2<center><a href="http://www.crustcaviar.com/pdf/zine-mac-and-cheese-2.pdf"><img src="http://www.crustcaviar.com/images/zine-mickson-frank-frejnik-thierry-rotten-eggs-split-mac-&-cheese-2.jpg"></a>
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Le 3-way all-star split zine <b>Mickson</b> / <b><a href="https://www.facebook.com/pages/Rotten-Eggs-Smell-Terrible/114257055328532?sk=timeline&ref=page_internal">Thierry ROTTEN EGGS SMELL TERRIBLE</a></b> / <b><a href="http://www.slow-death.org/">Frank SLOW DEATH</a></b> avec une couverture de <b><a href="http://davidbrohet.tumblr.com/">David Brohet</a>.</b> Tout est dit !<br><br><b><font size="5"><a href="http://www.crustcaviar.com/pdf/zine-mac-and-cheese-2.pdf" target="_blank">TÉLÉCHARGER</a></font><br><font size="2">(PDF - 15mo)</font></b></center>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-14497837539074095322015-03-11T08:00:00.000-07:002015-03-12T13:25:31.957-07:00XTC - Go 2 (1978)Great album art concept by <a href="http://en.wikipedia.org/wiki/Hipgnosis"><b>Hipgnosis</b></a><br><br><img src="http://www.crustcaviar.com/images/xtc-go-2-front.jpg"><br><img src="http://www.crustcaviar.com/images/xtc-go-2-back.jpg"><br><img src="http://www.crustcaviar.com/images/xtc-go-2-label1.jpg"><br><img src="http://www.crustcaviar.com/images/xtc-go-2-label2.jpg"><br><br><center>[<a href="http://typophonic.com/1978-xtc-go-2-album-cover/" target="_blank"><b>source</b></a>]</center></br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-70752694854752829172015-03-05T03:06:00.003-08:002015-03-05T03:07:03.635-08:00Février, c’est le nom du clébard des Hart dans « l’amour du risque » !<b>Putain pourquoi j’ai stocké cette info ???<br>
Top Février.<br><br></b>
<img src="http://www.crustcaviar.com/images/mickson-top-fevrier-2015-john-waters.jpg"><br><br>
<div align="justify">
<b>JOHN WATERS – crackpot</b><br>
Un bouquin que j’aurais jamais imaginé lire, arrivé dans mes mains par accident (un prêt…) mais une agréable surprise. Comme un crétin j’étais un peu réticent puisque le bouquin est contemporain des films du père Waters que j’aime pas trop, Pink Flamingos, Female Trouble, Polyester et tout ça. Le type a commencé à vraiment m’intéresser à partir de Serial Mom, perso je pense que ses meilleurs films sont postérieurs à toute cette période heavy-trasho, des trucs vraiment cool comme Pecker et surtout Cecil B. Demented. Donc ce bouquin (une compile d’articles) est vraiment bien, parce que le mec nous fait partager ses goûts (et dégoûts), ça inclut des éléments du quotidien, ça sort de la case cinéma stricto sensu. Un chapitre par thème abordé, la projection de ses films en prison entre deux tournages, des 100 trucs qu’il déteste le plus, une interview de Pia Zadora, un sujet sur William Castle, un mogul de la série B des années 50/60, à l’imagination sans limites et à qui Joe Dante a rendu hommage dans Matinee (vraiment cool !) et j’en passe. C’est agréable à lire, un petite plongée dans la trash et pop culture qui nourrit depuis toujours ce réalisateur hors du commun… mon chapitre préféré s’intitule <i>« the nicest kids in town »</i> et parle de ce qui lui a inspiré Hairspray et un peu Cry-Baby aussi je pense… super article donc, sur un show TV de Baltimore fin 50 / début 60, calqué sur le American Bandstand de Ed Sullivan, dans le trip teens en folie, nouvelles danses, chartbusters, socquettes, queues de cheval et gomina dans les tifs ! C’est super bien écrit et ça fait voyager dans le temps… Crackpot, c’est très agréable à bouquiner, calé dans le canape et à bouffer des crackers…
un très bon gars, le mec à la moustache Don Diego stylee !
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<b>PLUMTREE – predicts the future</b><br>
Scott Pilgrim pour moi c’est l’univers étendu de Star Wars, en pire même ! Directement, le mini comics « the wonderful world of Kim Pine », le fanart sur DeviantArt, le jeu video Ubisoft, (à quand les figurines Scott P chez Funko Pop ?), la réédition couleurs + pages bonus chez Milady et indirectement tout ce que ça m’apporte, comme ressortir du Metric ou du Buffalo Springfield (bicause Stephen Stills « le talent »), aller boire un jus dans une boutique à café en m’imaginant que je suis à Second Cup (pas encore vu de Stacey P derrière le comptoir) et aussi croiser cette rouquine à Sunnydale, qui speede sur ses rollers dans les voies de bus, avec un sac en bandoulière –pas un sac subspatial mais estampillé HEI ! bref ce qui se rapproche le plus de Ramona dans la vraie vie… Dans cette oeuvre aux multiples couches, il y a bien évidemment la zique (un ingrédient essentiel) genre il y a quelques jours je ressors le 1er Lp de Frank Black, dont le morceau « I heard Ramona sing » figure sur la BO du film… et c’est Bryan Lee O’Malley lui même qui parle de Plumtree (groupe de meufs de Halifax) qui ont écrit en 97 un titre qui s’appelle « Scott Pilgrim »… titre qui a servi pour baptiser le perso principal de sa saga… corny ? bah non, ces jeux de pistes j’adore… donc, le morceau « Scott Pilgrim » ça faisait belle lurette que je l’avais chopé (la version video, avec une intro à l’harmonica, un instrument que je ne souhaite pas trop entendre, comme le saxo)… dernièrement je me retape les 6 volumes de la BD + le film, et je file chercher l’album de Plumtree qui inclut cette chanson. Et ça le fait ! Des cool mélodies, indie-pop à crever (pas trop noisy) un bidule proche de la scène twee-pop du milieu des années 80, des fois ça me fait grave penser à du Talulah Gosh mixé avec The Amps… la chanteuse a vraiment une chouette voix, des intonations à la Belinda Carlisle un peu, en plus fragile et avec moins de coffre. Un peu plus de 30 mn d’émotions poppy à base de guitares cradoques et de chansons merveilleuses. Fuckin’ A.<br>
<iframe width="615" height="461" src="https://www.youtube.com/embed/DkOs_ElQQcI?rel=0&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>BANGLES – all over the place</b><br>
Avoir un ordi qui claque pour de bon, ça incite à se retourner vers les stocks existants… comme quoi rien n’est jamais totalement perdu (après avoir fait un tri, évidemment)… pas de plantage possible avec le 1er LP des Bangles, un mega-classic pour ma pomme! Les meufs faisaient partie de la scène Paisley Underground de L.A. début des années 80, une clique qui avait dans ses rangs des groupes bien coolos comme Dream Syndicate, Three O’Clock, Rain Parade… des gonzes branchés sur la zique sixties et seventies, attitude cool et tout… et quand je parle de ces deux décennies, on vise des combos comme les Byrds, le Velvet U, Buffalo Springfield, MC5… pour les poupées Bangles, ça tapait aussi pas mal dans la grosse power-pop garage, Remains et autres Ohio Express… ce skeud (sorti en 84) ne contient que des perles, des guitares parfois cristallines, parfois agressives, des refrains magiques et elles excellaient également dans les harmonies vocales. Faut dire que toutes les quatre se tapaient à tour de rôle le chant lead, avec un grain de voix bien marqué et identifiable pour chacune d’entre elles… perso je crush particulièrement pour l’organe de Susanna Hoffs, qui est également la plus jolie du paquet (anecdote : Prince a craqué sur elle en matant une de leurs vidéos et leur a composé le hit « manic monday »)… bref, rien à jeter sur cette rondelle, ça file à grande vitesse, entre titres lancinants genre « hero takes a fall » et balades tuantes (« dover beach »)… sans oublier les trucs plus punchy à la « silent treatment »… génial. A noter que leur LP suivant, « different light » contient le tube planétaire « walk like an egyptian »… très bon skeud, mais sans l’urgence poppy-nerveuse et toutes guitares dehors du 1er shot. Un petit échantillon par ici :<br>
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<b>TITLE FIGHT – hyperview</b><br>
Ce groupe j’en suis tombé raide depuis leur EP « the last thing you forget », HC sous tension et mélo, voix abrasives et tout, avec des cool réminiscences Jawbreaker. Puis déboule l’album « shed » et tuerie again… du coup je les suis quoi. Pas déçu jusqu’à présent. Celui qui vient de tomber me baffe aussi, cette fois on est en plein délire 90 (une influence déjà présente sur l’album « floral green » et encore plus -je trouve- sur le 4 titres « spring songs »), ils ont ouvert les vannes indie/noisy/pop en grand, envoyez le jus Ride, The Telescopes, Teenage Fanclub, My Bloody Valentine, Wolfhounds, Lush… putain les sons de guitare noyés d’effets c’est pile ça ! Les voix éthérées, les mélodies envapées, pas de lèze… des fois on se dit mais pourquoi s’immerger autant là-dedans mais c’est leur groupe ; les mecs font ce qu’ils veulent, en tout cas perso je me sens tellement en terrain connu… je suis pas non plus le dernier pour apprécier un changement de registre, pour peu que ça me plaise… donc, pas déçu, ni même dérouté, je répète, ils avaient préparé le terrain. Jusqu’à présent, toutes les périodes de Title Fight me vont, pas de souci.<br><iframe width="615" height="346" src="https://www.youtube.com/embed/-wSPhg7Hlpw?list=PLJ7QPuvv91JuoUsy6GzjlAawkoUOa1g3X&showinfo=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
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<b>COTTON WEARY – s/t</b><br>
Un skeud remis à jour après ce fameux crash d’ordi, je parcours mes piles à nouveau et je me rends compte que certains trucs un peu oubliés passent bien l’épreuve du temps. J’avais chopé ce CD sur la liste de distro de Yann Sanjam – salut mec ! j’espère que tu vas bien… (également boss de Sanjam Records, une pelletée de sorties géniales au compteur, genre Kidsgofree, Emily et Serotonin entre autres…) grâce à qui j’ai découvert début 2000 la tonne de petits combos bien obscurs, venant des quatre coins du globe, des Italiens, des Ecossais, des Américains, des Espagnols… petits mais balèzes ! De la haute qualité. Bref, je lui avais commandé Cotton Weary (groupe Anglais) bicause le chouette descriptif dans son cata et le nom du groupe bien classieux… comme d’hab aucune déception à l’arrivée du colis, ce skeud étant hyper énergique et catchy à mort. Du bon punk-rock mélo, qui file droit, au son râpeux et aux compos gorgées d’émotion. J’en fais pas plus, pour tester c’est là : <a href="http://www.last.fm/music/Cotton+Weary " target="_blank"><b>http://www.last.fm/music/Cotton+Weary</b></a><br><br>J’ai perdu un laptop dans l’affaire mais conséquence : j’ai pu rebrancher quelques connexions pas mal poussiéreuses. Et qui fonctionnent encore bien. Cool.</div><br><br>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6877794586161643942.post-84714438779751049792015-02-03T09:17:00.000-08:002015-02-03T09:25:07.254-08:00SPLIT ZINE - SLIME / STREET KLEANERComme d'hab, ce zine est sold-out dans l'underground de la photocopie alors on le met ici, cette fois c'est un split entre <b>Mickson</b> et <b>Buen</b> (aka Mr. Buenax, présentement <a href="http://www.theirradiates.org/"><b>IRRADIATES</b></a>, <a href="http://www.redgloves.fr/"><b>RED GLOVES</b></a>, <a href="http://www.facebook.com/NothingToProve25"><b>NOTHING TO PROVE</b></a>, ex-<a href="http://hawaiisamurai.com/"><b>HAWAII SAMURAI</b></a>, ex-<a href="http://theronnierockets.free.fr/"><b>RONNIE ROCKETS</b></a>, mercenaire pour <b>SIMON CHAINSAW</b>, <b>SCOTT DRAKE</b> ... et puis boss de <a href="http://www.slime.fr/"><b>SLIME ZINE</b></a> du coup)
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Ah ouaih, et c'est splitté en deux PDF parce que c'est plus simple ... Bonne lecture !<br><br>
<center><a href="http://www.crustcaviar.com/pdf/buen-slime-zine_5.pdf" target="_blank"><img src="http://www.crustcaviar.com/images/buen-slime-zine_5.jpg"></a>
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<b><font size="5"><a href="http://www.crustcaviar.com/pdf/mickson-zine-street-kleaner.pdf" target="_blank">TÉLÉCHARGER STREET KLEANER</a></font><br><font size="2">(PDF - 12mo)</font></b></center>Unknownnoreply@blogger.com0