UNDEROATH DISSIN' NOFX (AVEC AMOUR)

Les groupes de hardcore chrétiens sont gentils ! A part peut être ce connard de Josh Scogin (quoique dans le dernier Vice il a étrangement l'air sympathique - Avé Jérome en passant !). Toujours est-il que, malgré ce que d'autres groupes de trous du cul jaloux leurs balancent à la gueule, ils prennent les vannes avec philosophie. Même quand ils décident de répliquer ça fait mouche. Exemple : si vous êtes un peu au courant des potins de la "scène", vous savez que la tension NOFX / UNDEROATH est pas toute jeune. Et même si les vieux fatties adeptes des blagues de répétitions lourdingues ne méritent que de se faire huer par leur propre public et qu'on copie leurs disques en mp3s jusqu'à la fin de leur vie (deux choses qu'ils arrivent plutôt bien à faire jusqu'à présent), en face, UNDEROATH réagit avec une private-blagounette pleine de finesse et d'amour comme seuls les chrétiens savent le faire.
Bien joué !
Amen.





DIRTY SUMMER OF 2009

Alors comme ça il y a encore des gens qui s'intéressent aux soit-disant "tubes de l'été" ? Pour le reste du monde et essentiellement ceux qui kiffent rouler en pick-up, une collec' de fusils à pompes à l'arrière, un barbe de plusieurs mois sur le menton et prier les ennemis publics chrétiens avant d'aller dormir. Pour tous ceux qui sont coincés dans ce qui mériteraient de figurer sur le top 10 des coins les plus white trash de France et de Navarre. Ouaih pour ceux là, il y a une nouvelle galette de MAYLENE AND THE SONS OF DISASTER à se mettre sous la dent sans plus tarder. Histoire de servir de soundtrack à cette saison de merde et aux deux mois les plus pourris de l'année.

MAYLENE AND THE SONS OF DISASTER - Oh Lonely Grave


+ BONUS : et comme Ferret Records aiment bien foutre leur merde jusqu'au bout, ils ont aussi sortis à quelque jours d'intervalle le "Tropic Rot" de POISON THE WELL, les coreux de Miami qui se la joue papier peint Scarface en même temps que revival GLASSJAW. PITBULL pourra toujours faire son malin avec son tube de l'été bilingue et ses clips pourris, on sait qui rule les Everglades.

POISON THE WELL - Celebrate the Pyre